-
Fès : Campagne de don de sang pour renflouer le stock de cette matière vitale
-
Une journée d’étude pour renforcer l’appui aux coopératives issues de collectivités ethniques
-
Guelmim-Oued Noun : lancement de la deuxième édition du programme d'entrepreneuriat des jeunes dans les projets agricoles
-
Casablanca: Cérémonie de remise des certificats aux lauréats de la 2è promotion de Passerelle
-
L'OMC met en avant l’expérience de l'UM6P dans le développement de startups innovantes
Les intervenants ont souligné, lors de cette rencontre sur la liberté d'expression et celle de la presse organisée par l'Association «Adala» (Justice) en partenariat avec l'Union européenne et la Fondation Friedrich Ebert, que la réforme de la loi de la presse reste tributaire d'une réforme politique générale et l'instauration d'une démocratie réelle, garantissant la liberté d'expression et de la presse.
Intervenant à cette occasion, Omar Bendourou, professeur à la Faculté de droit de Souissi-Rabat, a affirmé qu'il n'existe jusqu'à présent aucune loi organique garantissant l'accès à l'information, bien que cela ait été stipulé dans la nouvelle Constitution.
Le politologue a passé en revue des exemples et des dispositions adoptées dans plusieurs pays en faveur de la liberté de la presse, et les mesures en vigueur au Maroc pour la protection des autorités et de responsables politiques contre toute critique, malgré que la nouvelle Constitution stipule que la liberté de la presse est garantie et ne peut être limitée par aucune forme de censure préalable. De son côté, Mohamed Sassi, également professeur universitaire, a suggéré la suppression des peines privatives de liberté pour les journalistes, la simplification des conditions de publication, tout en précisant la notion de «diffamation» et ajustant les propos pompeux qui décrivent les débordements de certains médias.