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Publiés dans la revue Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, les résultats de deux études complémentaires, réalisées par une équipe internationale d’astronomes, apportent des éléments de preuve de l’existence de la mystérieuse énergie noire, qui constituerait près de 75% de l’Univers.
La matière ordinaire - gaz, étoiles, galaxies, planètes et leurs ‘occupants’ - ne représenterait que 4% du cosmos. Le reste serait fait de l’énigmatique ‘matière noire’ (22%), et surtout de la non moins mystérieuse ‘énergie noire’, un concept invoqué pour la première fois dans les années 1990, à partir de l’étude de la luminosité de supernovas (explosions d’étoiles) lointaines. Celle-ci représenterait environ 74% de l’Univers.
Utilisant des techniques de pointe, une équipe internationale a réalisé deux types d’observations qui semblent confirmer l’existence de cette matière noire, ainsi que l’accélération de l’expansion de l’Univers - deux notions compatibles avec la théorie d’Einstein concernant la gravité.
S’intéressant à plus de 200.000 galaxies, les chercheurs ont pu mesurer une tendance dans la façon dont elles sont distribuées dans l’espace - un modèle appelé “oscillations acoustiques des baryons” - ainsi que la rapidité avec laquelle ces amas de galaxies se sont formés au fil du temps.
Ces résultats proviennent d’un projet appelé WiggleZ, qui a débuté en 2006 et s’est terminé cette année. Il a utilisé des données issues du télescope spatial Galaxy Evolution Explorer (Galex) de la NASA, et du télescope anglo-australien situé à Siding Spring Mountain, en Australie.
La matière ordinaire - gaz, étoiles, galaxies, planètes et leurs ‘occupants’ - ne représenterait que 4% du cosmos. Le reste serait fait de l’énigmatique ‘matière noire’ (22%), et surtout de la non moins mystérieuse ‘énergie noire’, un concept invoqué pour la première fois dans les années 1990, à partir de l’étude de la luminosité de supernovas (explosions d’étoiles) lointaines. Celle-ci représenterait environ 74% de l’Univers.
Utilisant des techniques de pointe, une équipe internationale a réalisé deux types d’observations qui semblent confirmer l’existence de cette matière noire, ainsi que l’accélération de l’expansion de l’Univers - deux notions compatibles avec la théorie d’Einstein concernant la gravité.
S’intéressant à plus de 200.000 galaxies, les chercheurs ont pu mesurer une tendance dans la façon dont elles sont distribuées dans l’espace - un modèle appelé “oscillations acoustiques des baryons” - ainsi que la rapidité avec laquelle ces amas de galaxies se sont formés au fil du temps.
Ces résultats proviennent d’un projet appelé WiggleZ, qui a débuté en 2006 et s’est terminé cette année. Il a utilisé des données issues du télescope spatial Galaxy Evolution Explorer (Galex) de la NASA, et du télescope anglo-australien situé à Siding Spring Mountain, en Australie.