-
Allemagne : Le Pavillon du Maroc fait sensation à la Foire de Hanovre
-
Lancement d’un projet de suivi et reporting en matière de devoir de vigilance
-
SIAM 2024 : les produits du terroir en vedette
-
16ème SIAM : Biopharma et l'IAV Hassan II s'associent pour développer la santé animale au Maroc
-
Les nouveautés fiscales dans la loi de finances 2024 au centre d’une rencontre à Tanger
Cette évolution recouvre une progression de 13% des prêts FOGALOGE (Fonds de garantie des prêts au logement en faveur du personnel du secteur public), suivie de 3% des prêts FOGARIM (Fonds de garantie pour les revenus irréguliers et modestes) pour atteindre respectivement des montants de 13 MMDH et 20 MMDH, précise le rapport.
En revanche, les prêts FOGALEF (Fonds de garantie de prêts destinés à financer l'accès à la propriété des adhérents de la Fondation Mohammed VI des œuvres sociales de l'éducation – formation) ont baissé de 12% à 11 MMDH.
Le recul de ces prêts destinés spécifiquement aux adhérents de la Fondation Mohammed VI des œuvres sociales de l'éducation, est observé depuis 2014, rapporte la MAP.
En termes de composition, les crédits FOGARIM constituent une proportion de 46,2% du total des prêts encouragés par l'Etat, suivis des crédits FOGALOGE et FOGALEF avec des parts respectives de 28,9% et 25%. Cette répartition a changé progressivement sur les dix dernières années, où les crédits FOGALEF représentaient plus que la moitié du portefeuille de ces prêts.
S'agissant du taux des créances en souffrance des prêts FOGARIM, il s'est accru de presque 3 points de pourcentage pour passer à 13,8% après 10,9% en 2020. Les prêts FOGALOGE et FOGALEF enregistrent respectivement des taux de défaut de 8,1% et de 0%.
A travers ce rapport, les autorités du secteur financier visent à fournir au public une vision transversale sur la situation du système financier marocain et les risques susceptibles de l'affecter, ainsi qu'une analyse des principales tendances économiques et financières.