Autres articles
-
A la frontière indo-pakistanaise, la bataille du chapardage des pigeons
-
Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries
-
Au Cap, les ambulanciers "prient" avant d'intervenir dans les quartiers chauds
-
Niveau de vie, santé : Le rebond post-Covid s'essouffle déjà
-
Pour les rendre compatibles avec tous les groupes sanguins : Un outil pourrait modifier les globules rouges
Une nouvelle digue anti-tsunami devrait voir le jour devant la centrale accidentée de Fukushima Daiichi, au nord-est du Japon. Le constructeur n’est autre que l’opérateur de la centrale, la société japonaise Tepco. Selon elle, la digue devrait mesurer deux mètres de haut, 500 mètres de long et prendre place sur un terrain situé dix mètres au-dessus du niveau de la mer.
Le journal japonais Daily Yomiuri précise que le groupe s’est basé sur les résultats d’une équipe de chercheurs qui a procédé à diverses simulations pour décider de construire cette nouvelle digue. Elle devrait être en mesure de contenir des vagues allant jusqu’à sept mètres. Cette digue est essentiellement destinée à protéger la centrale de Fukushima des éventuelles répliques du séisme du 11 mars. En effet, le tsunami consécutif aux secousses avait fait déferler une vague de 14 mètres sur l’installation nucléaire.
Pour limiter le temps d’exposition aux radiations de ses employés, l’opérateur envisage également de tripler son personnel. Il compte le faire passer de 1.000 à 3.000 personnes, indique l’AFP. Tepco estime qu’il faudra encore trois mois pour que le niveau de radiations commence à baisser sur le site, et que trois à six mois de plus seront nécessaires pour atteindre un niveau de radiations qualifié de “très bas”.
Le journal japonais Daily Yomiuri précise que le groupe s’est basé sur les résultats d’une équipe de chercheurs qui a procédé à diverses simulations pour décider de construire cette nouvelle digue. Elle devrait être en mesure de contenir des vagues allant jusqu’à sept mètres. Cette digue est essentiellement destinée à protéger la centrale de Fukushima des éventuelles répliques du séisme du 11 mars. En effet, le tsunami consécutif aux secousses avait fait déferler une vague de 14 mètres sur l’installation nucléaire.
Pour limiter le temps d’exposition aux radiations de ses employés, l’opérateur envisage également de tripler son personnel. Il compte le faire passer de 1.000 à 3.000 personnes, indique l’AFP. Tepco estime qu’il faudra encore trois mois pour que le niveau de radiations commence à baisser sur le site, et que trois à six mois de plus seront nécessaires pour atteindre un niveau de radiations qualifié de “très bas”.