Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Les pays riches sont d'accord pour donner 100 milliards d'euros par an aux pays pauvres. Enfin presque.
Les pays de l'Union européenne, réunis en sommet européen à Bruxelles, auraient validé à l'issue d'une nuit de négociations un projet d'accord entérinant l'estimation faite par la Commission européenne des aides à apporter aux pays pauvres pour lutter contre le réchauffement climatique. Cette dernière avait évalué ce besoin à quelque 100 milliards d'euros par an d'ici à 2020.
Mais la discussion est loin d'être achevée, le point épineux étant la répartition de cette somme entre les différents contributeurs, dont ceux de l'Union européenne. Cette question de l'aide aux pays en développement est au coeur des négociations de la conférence de Copenhague qui se tiendra sur le sujet début décembre, et peine à avancer.
L'idée, peu à peu admise par l'Union européenne, est que les pays développés, historiquement responsables du réchauffement climatique, doivent mettre de l'argent sur la table pour aider les pays pauvres à s'engager dès maintenant sur la voie d'un développement durable, à faibles émissions de gaz à effet de serre. Dans le projet d'accord, l'UE se dit «prête à assumer sa part de l'effort mondial» mais elle ne précise pas dans quelle proportion...
Les questions sur le climat, pour le moins sensibles au vu des sommes en jeu, se sont fait voler la vedette ces derniers jours par les tractations autour de la candidature de Blair au poste de président du Conseil européen.
Les pays de l'Union européenne, réunis en sommet européen à Bruxelles, auraient validé à l'issue d'une nuit de négociations un projet d'accord entérinant l'estimation faite par la Commission européenne des aides à apporter aux pays pauvres pour lutter contre le réchauffement climatique. Cette dernière avait évalué ce besoin à quelque 100 milliards d'euros par an d'ici à 2020.
Mais la discussion est loin d'être achevée, le point épineux étant la répartition de cette somme entre les différents contributeurs, dont ceux de l'Union européenne. Cette question de l'aide aux pays en développement est au coeur des négociations de la conférence de Copenhague qui se tiendra sur le sujet début décembre, et peine à avancer.
L'idée, peu à peu admise par l'Union européenne, est que les pays développés, historiquement responsables du réchauffement climatique, doivent mettre de l'argent sur la table pour aider les pays pauvres à s'engager dès maintenant sur la voie d'un développement durable, à faibles émissions de gaz à effet de serre. Dans le projet d'accord, l'UE se dit «prête à assumer sa part de l'effort mondial» mais elle ne précise pas dans quelle proportion...
Les questions sur le climat, pour le moins sensibles au vu des sommes en jeu, se sont fait voler la vedette ces derniers jours par les tractations autour de la candidature de Blair au poste de président du Conseil européen.