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Le président bolivien Evo Morales a annoncé mardi la tenue d'un sommet alternatif sur le climat en avril dans son pays, après l'échec de la conférence des Nations unies à Copenhague.
Ce sommet, qui se tiendra du 20 au 22 avril à Cochabamba, réunira des mouvements sociaux, des scientifiques, des peuples indigènes ainsi que des représentants de gouvernements "qui veulent travailler avec leur peuple".
Selon Evo Morales, l'objectif est notamment de faire pression sur les pays industrialisés afin qu'ils reconnaissent leur "dette climatique" vis-à-vis des nations les plus pauvres. Le sommet a également pour but d'avancer vers la création d'un tribunal international sur les crimes environnementaux.
Parmi les autres sujets devant être abordés, "une proposition universelle pour les droits" de la Terre, et le transfert de technologie nécessaire pour aider les pays en développement à adapter leurs modes de production aux changements climatiques.
La Bolivie était l'un des cinq pays à s'opposer à l'accord proposé par les Etats-Unis à la conférence de Copenhague le mois dernier, arguant que le texte avait été rédigé dans le secret par une poignée de pays riches.
La conférence avait donc seulement pris acte du texte, qui n'avait pas été approuvé par l'ensemble des 193 pays représentés au Danemark, lui ôtant tout poids légal.
Par ailleurs, ces 20 dernières années, plus de 45 nouvelles maladies sont apparues, transmises de l'animal à l'homme. Selon les scientifiques, elles seraient l'effet de plusieurs facteurs, parmi lesquels les changements environnementaux occupent une place importante.
C'est bien connu, la mondialisation favorise la venue de nouvelles maladies, d'un continent à un autre et en très peu de temps. Il suffit parfois de quelques jours pour qu'une maladie se propage, et encore moins pour qu'elle sème la panique. A la mondialisation s'ajoutent d'autres causes comme les changements climatiques et environnementaux. Les animaux entrent plus facilement en contact avec l'espèce humaine, responsable de la disparition de certaines espèces de plantes et de la destruction des habitats naturels de nombreuses espèces animales. Ainsi, des virus comme le VIH par exemple, ont pu se propager du chimpanzé à l'homme : 25 millions de personnes en sont déjà mortes, depuis la fin des années 1970.
Ce sommet, qui se tiendra du 20 au 22 avril à Cochabamba, réunira des mouvements sociaux, des scientifiques, des peuples indigènes ainsi que des représentants de gouvernements "qui veulent travailler avec leur peuple".
Selon Evo Morales, l'objectif est notamment de faire pression sur les pays industrialisés afin qu'ils reconnaissent leur "dette climatique" vis-à-vis des nations les plus pauvres. Le sommet a également pour but d'avancer vers la création d'un tribunal international sur les crimes environnementaux.
Parmi les autres sujets devant être abordés, "une proposition universelle pour les droits" de la Terre, et le transfert de technologie nécessaire pour aider les pays en développement à adapter leurs modes de production aux changements climatiques.
La Bolivie était l'un des cinq pays à s'opposer à l'accord proposé par les Etats-Unis à la conférence de Copenhague le mois dernier, arguant que le texte avait été rédigé dans le secret par une poignée de pays riches.
La conférence avait donc seulement pris acte du texte, qui n'avait pas été approuvé par l'ensemble des 193 pays représentés au Danemark, lui ôtant tout poids légal.
Par ailleurs, ces 20 dernières années, plus de 45 nouvelles maladies sont apparues, transmises de l'animal à l'homme. Selon les scientifiques, elles seraient l'effet de plusieurs facteurs, parmi lesquels les changements environnementaux occupent une place importante.
C'est bien connu, la mondialisation favorise la venue de nouvelles maladies, d'un continent à un autre et en très peu de temps. Il suffit parfois de quelques jours pour qu'une maladie se propage, et encore moins pour qu'elle sème la panique. A la mondialisation s'ajoutent d'autres causes comme les changements climatiques et environnementaux. Les animaux entrent plus facilement en contact avec l'espèce humaine, responsable de la disparition de certaines espèces de plantes et de la destruction des habitats naturels de nombreuses espèces animales. Ainsi, des virus comme le VIH par exemple, ont pu se propager du chimpanzé à l'homme : 25 millions de personnes en sont déjà mortes, depuis la fin des années 1970.