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En avril 2011, l'actrice britannique choisit de rompre le silence en confessant au monde « sa dépression et ses troubles bipolaires ». Entre autres affaiblie psychologiquement par le cancer de son mari, Michael Douglas, et les ennuis judiciaires de son beau-fils, la star se fait soigner dans le centre psychiatrique Silver Hill, à New Canaan. Une première hospitalisation suivie d'une seconde en 2013, où elle suivra un «traitement préventif» de 30 jours. Des années sombres, durant lesquelles les «plus petites choses» lui paraissaient «insurmontables». Aidée par ses proches et une médicamentation stricte, Catherine Zeta-Jones semble néanmoins depuis avoir remonté la pente.