Autres articles
	 
- 
			 En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres
- 
			 L'Inde expérimente l'ensemencement des nuages à Delhi pour lutter contre la pollution
- 
			 Face à la Grande Armée de Napoléon, les Russes et des maladies insoupçonnées
- 
			 Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
- 
			 Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
					 C’est un nouvel espoir dans la lutte contre le cancer du sein mais aussi une découverte qui pourrait faire avancer la lutte contre les cancers du côlon, des ovaires ou du pancreas. Des chercheurs américains du Centre de lutte contre le cancer de l’Université de Géorgie viennent en effet de tester chez les souris un vaccin qui entraîne le système immunitaire à attaquer les tumeurs lorsque celles-ci sont dotées d’une protéine particulière sur leur surface. 
Les chercheurs ont noté que cette protéine (appelée MUC1) est présente dans 70% des cas de cancer, et notamment dans 90% des cas de cancer du sein dits “triple négatifs” qui sont des formes de cancer insensibles aux traitements hormonaux mais aussi les formes de cancers les plus difficiles à soigner. Dans les essais pratiqués chez les souris, le vaccin s’est attaqué et a détruit cette protéine, réduisant de 80% le volume des tumeurs.
Selon l’Institut national de veille sanitaire, le cancer du sein est le premier cancer féminin en France. Avec environ 53.000 nouveaux cas au cours de l’année (dont un nombre croissant de cas chez les femmes de moins de 40 ans), le cancer du sein représente près de 37% de l’ensemble des nouveaux cas de cancers chez la femme. Autre chiffre alarmant : le cancer du sein se situe au premier rang des décès par cancer chez la femme (11.000 décès pour 53.000 cas déclarés).
Autant dire que ces essais de vaccin contre les tumeurs cancéreuses laisse entrevoir une piste prometteuse dans le traitement des cancers du sein les plus difficiles à soigner, et dans la prévention chez les personnes à risque. L’ambition étant d’apprendre à notre système immunitaire à faire la différence entre cellules saines et cellules cancéreuses… et à détruire les cellules cancéreuses.
Après les essais réussis sur les souris, les chercheurs ont lancé une phase d’essai sur des cellules humaines, en laboratoire. Si cette phase est tout aussi réussie que la première, des tests cliniques pourraient démarrer en 2013.
			 Les chercheurs ont noté que cette protéine (appelée MUC1) est présente dans 70% des cas de cancer, et notamment dans 90% des cas de cancer du sein dits “triple négatifs” qui sont des formes de cancer insensibles aux traitements hormonaux mais aussi les formes de cancers les plus difficiles à soigner. Dans les essais pratiqués chez les souris, le vaccin s’est attaqué et a détruit cette protéine, réduisant de 80% le volume des tumeurs.
Selon l’Institut national de veille sanitaire, le cancer du sein est le premier cancer féminin en France. Avec environ 53.000 nouveaux cas au cours de l’année (dont un nombre croissant de cas chez les femmes de moins de 40 ans), le cancer du sein représente près de 37% de l’ensemble des nouveaux cas de cancers chez la femme. Autre chiffre alarmant : le cancer du sein se situe au premier rang des décès par cancer chez la femme (11.000 décès pour 53.000 cas déclarés).
Autant dire que ces essais de vaccin contre les tumeurs cancéreuses laisse entrevoir une piste prometteuse dans le traitement des cancers du sein les plus difficiles à soigner, et dans la prévention chez les personnes à risque. L’ambition étant d’apprendre à notre système immunitaire à faire la différence entre cellules saines et cellules cancéreuses… et à détruire les cellules cancéreuses.
Après les essais réussis sur les souris, les chercheurs ont lancé une phase d’essai sur des cellules humaines, en laboratoire. Si cette phase est tout aussi réussie que la première, des tests cliniques pourraient démarrer en 2013.
 
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					  
					 


 Augmenter la taille du texte
 Augmenter la taille du texte Diminuer la taille du texte
 Diminuer la taille du texte Partager
 Partager







 En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres
 
En marchant, les humains bougent plus que tous les animaux sauvages terrestres 
					  
					  
					 