Autres articles
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
Le tribunal correctionnel de Marseille a condamné lundi à un an de prison avec sursis une femme qui avait braqué un bureau de tabac alors qu'elle était surendettée et menacée d'expulsion.
C'est la peine qu'avait requise le procureur contre Rose Vicari, une mère de famille de 50 ans, qui expliquait avoir agi "par nécessité".
Le 8 décembre dernier, elle avait attaqué, avec une arme dans son sac, un tabac-presse situé boulevard de Saint-Loup, dans le dixième arrondissement de Marseille.
Jugée pour "tentative d'extorsion de fonds par violence et détention d'arme", elle encourait jusqu'à sept ans de prison ferme mais n'a finalement écopé que d'un an avec sursis.
Mère de deux enfants de 23 et 27 ans, elle a expliqué à la barre, en larmes, qu'elle regrettait son geste. "Je voulais faire comme un emprunt forcé. J'étais dans un désespoir immense. Je cherchais à trouver une solution".
"Elle a pensé au suicide, mais elle a trouvé une autre solution: le suicide social", ont plaidé ses avocats, Mes Pascal Luongo et Jean-Claude Valéra.
C'est la peine qu'avait requise le procureur contre Rose Vicari, une mère de famille de 50 ans, qui expliquait avoir agi "par nécessité".
Le 8 décembre dernier, elle avait attaqué, avec une arme dans son sac, un tabac-presse situé boulevard de Saint-Loup, dans le dixième arrondissement de Marseille.
Jugée pour "tentative d'extorsion de fonds par violence et détention d'arme", elle encourait jusqu'à sept ans de prison ferme mais n'a finalement écopé que d'un an avec sursis.
Mère de deux enfants de 23 et 27 ans, elle a expliqué à la barre, en larmes, qu'elle regrettait son geste. "Je voulais faire comme un emprunt forcé. J'étais dans un désespoir immense. Je cherchais à trouver une solution".
"Elle a pensé au suicide, mais elle a trouvé une autre solution: le suicide social", ont plaidé ses avocats, Mes Pascal Luongo et Jean-Claude Valéra.