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Les progrès des technologies pour venir en aide aux handicapés sont de plus en plus spectaculaires. Jambe, bras, main : les prothèses sont aujourd’hui nettement plus maniables et “doués”. Mais il reste des progrès à faire, ce à quoi s’attache de nombreux scientifiques. En effet, si les mains artificielles sont à présent très performantes, permettant de presque tout saisir, voire même d’écrire, elles ne restent que des “pinces” ne permettant pas d’avoir la moindre sensation liée au toucher.
C’est ainsi en alliant la neurologie, la robotique, la biotechnologie et la nanotechnologie que des scientifiques tentent aujourd’hui de réaliser un véritable exploit : créer un doigt artificiel. Mais pas juste un de remplacement, un doigt avec toutes les sensations qu’un vrai peut apporter. C’est notamment grâce aux travaux de l’école supérieure Sainte Anne de Pise, en Italie que des chercheurs développent, dans le cadre de deux programmes, un doigt “biomimétique”. Ce doigt, équipé de nombreux capteurs est relié au système nerveux du patient, lui permettant ainsi de “ressentir” ce qu’il touche.
Mais pour que cela fonctionne, il reste un obstacle, et non des moindres : comprendre comment le cerveau capte les influx nerveux transmis par les doigts, donnant la sensation du toucher. Ce que s’efforce de faire le Pr Alan Wing et son équipe à l’Université de Birmingham, au Royaume-Uni. Pour ce faire, ceux-ci étudient des patients ayant des troubles de la perception du toucher pour essayer de comprendre comment le cerveau capte ces informations. Il espère ainsi créer un réseau cérébral “sain” qui pourrait remplacer les zones endommagées permettant de cette manière, de sentir à nouveau les informations transmises par les doigts.
C’est avec toutes ces découvertes que l’équipe de l’école supérieure Sainte Anne de Pise est parvenue à créer à l’aide de la robotique, un vrai doigt artificiel. Le premier prototype mis au point permet, à ce jour de reconnaître 90% des surfaces, “possède la dynamique, la sensibilité, et la capacité de calculer la dimension spatiale lors d’une pression”, nous relate Euronews .
C’est ainsi en alliant la neurologie, la robotique, la biotechnologie et la nanotechnologie que des scientifiques tentent aujourd’hui de réaliser un véritable exploit : créer un doigt artificiel. Mais pas juste un de remplacement, un doigt avec toutes les sensations qu’un vrai peut apporter. C’est notamment grâce aux travaux de l’école supérieure Sainte Anne de Pise, en Italie que des chercheurs développent, dans le cadre de deux programmes, un doigt “biomimétique”. Ce doigt, équipé de nombreux capteurs est relié au système nerveux du patient, lui permettant ainsi de “ressentir” ce qu’il touche.
Mais pour que cela fonctionne, il reste un obstacle, et non des moindres : comprendre comment le cerveau capte les influx nerveux transmis par les doigts, donnant la sensation du toucher. Ce que s’efforce de faire le Pr Alan Wing et son équipe à l’Université de Birmingham, au Royaume-Uni. Pour ce faire, ceux-ci étudient des patients ayant des troubles de la perception du toucher pour essayer de comprendre comment le cerveau capte ces informations. Il espère ainsi créer un réseau cérébral “sain” qui pourrait remplacer les zones endommagées permettant de cette manière, de sentir à nouveau les informations transmises par les doigts.
C’est avec toutes ces découvertes que l’équipe de l’école supérieure Sainte Anne de Pise est parvenue à créer à l’aide de la robotique, un vrai doigt artificiel. Le premier prototype mis au point permet, à ce jour de reconnaître 90% des surfaces, “possède la dynamique, la sensibilité, et la capacité de calculer la dimension spatiale lors d’une pression”, nous relate Euronews .