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					 Les villes devraient jouer un plus grand rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique mondial, et elles peuvent agir dans ce domaine plus facilement que les Etats, lesquels peinent à s'entendre sur un nouveau traité international, a déclaré la Banque mondiale   
"Les dix plus grandes villes au monde rejettent davantage de gaz à effet de serre (GES) que le Japon", a déclaré vendredi à Reuters Andrew Steer, représentant spécial de la Banque mondiale pour les questions de changement climatique.
Steer, présent à Cancun au Mexique pour la conférence internationale sur le climat qui s'y tient jusqu'au 10 décembre, a préconisé des réformes, notamment des modifications du marché du carbone, pour aider les villes à devenir moins polluantes.
Selon une étude de la Banque mondiale, les zones urbaines, où vit plus de la moitié de la population mondiale, sont responsables des deux tiers des émissions de GES et pourraient se tourner vers des transports plus écologiques, des énergies propres et un meilleur recyclage des déchets.
"Lorsque vous réunissez 194 pays du monde, il n'est pas toujours facile de parvenir à un consensus", a-t-il dit à propos de la conférence de Cancun.
Plus de 1.000 maires de villes américaines, par exemple, sont convenus en 2008 d'objectifs de réduction des émissions de GES, en conformité avec l'esprit du protocole de Kyoto.
				 
			 "Les dix plus grandes villes au monde rejettent davantage de gaz à effet de serre (GES) que le Japon", a déclaré vendredi à Reuters Andrew Steer, représentant spécial de la Banque mondiale pour les questions de changement climatique.
Steer, présent à Cancun au Mexique pour la conférence internationale sur le climat qui s'y tient jusqu'au 10 décembre, a préconisé des réformes, notamment des modifications du marché du carbone, pour aider les villes à devenir moins polluantes.
Selon une étude de la Banque mondiale, les zones urbaines, où vit plus de la moitié de la population mondiale, sont responsables des deux tiers des émissions de GES et pourraient se tourner vers des transports plus écologiques, des énergies propres et un meilleur recyclage des déchets.
"Lorsque vous réunissez 194 pays du monde, il n'est pas toujours facile de parvenir à un consensus", a-t-il dit à propos de la conférence de Cancun.
Plus de 1.000 maires de villes américaines, par exemple, sont convenus en 2008 d'objectifs de réduction des émissions de GES, en conformité avec l'esprit du protocole de Kyoto.
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 
					 







 
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