-
Albares réaffirme l’excellence des relations de l’Espagne avec le Maroc
-
L'ANRE reçoit une délégation turque d’hommes d’affaires
-
Plaidoyer à Rabat pour l’adaptation de l’arsenal juridique des pays africains de l’Atlantique aux défis de la transformation numérique
-
Ouverture à Dakhla du premier Forum international sur le Sahara marocain
-
L'Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif organise la 3ème session du Forum annuel des personnes handicapées dans la Ville Sainte
Pour preuve, selon les données rendues publiques mercredi par le ministère de la Santé dans son bulletin quotidien, 3.745.173 personnes ont reçu la première dose, tandis que la deuxième a été administrée à 360.689 citoyennes et citoyens prioritaires dans la liste de vaccination établie par les autorités sanitaires. Dès lors le tweet de l’OMS Maroc “Félicitations pour la réussite de cette campagne” prend tout son sens.
Et ce n’est pas fini. Lancée le 28 janvier dernier par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la campagne de vaccination nationale, gratuite pour l’ensemble des citoyens, en application des Hautes instructions Royales, a pour ambitieux objectif d’immuniser l’ensemble de la population marocaine, ou du moins 80% d’entre elle, soit quelque 30 millions de Marocains. Un objectif surmontable à condition d’avoir sous la main le vaccin anti-Covid-19. C’est le cas pour le moment, notamment grâce à une diversification des sources d’approvisionnement.
Pourvu que ça dure. Car stopper les méfaits du nouveau coronavirus n’est pas une mince affaire. Un virus qui a contaminé 484.753 Marocains et ôté la vie de 8653 personnes. De fait, la campagne de vaccination a un rôle prépondérant à jouer non seulement pour éliminer les cas de contamination, mais également pour que la liste des victimes arrête de s’allonger. Et pourquoi pas, dans les prochains mois retrouver l’ancien monde. Un monde où le Sars-Cov2 ne serait qu’un mauvais souvenir. En tout cas, le Maroc en prend le chemin.
C.E