-
Driss Lachguar : Passerelle importante vers l’Afrique, la ville d’Agadir requiert un intérêt considérable
-
Le délai raisonnable pour statuer sur les affaires, un engagement constitutionnel en faveur des droits des justiciables
-
Mustafa El Ktiri : La récupération de Sidi Ifni, une étape majeure dans le processus de parachèvement de l’indépendance nationale
-
Débats entre experts dans la perspective de la tenue du 12ème Congrès de l’USFP
Initié par le Bureau des affaires de désarmement des Nations unies (UNODA), cet atelier, qui sera l'occasion de débattre des expériences dans le domaine juridique qui régit la mise en œuvre des dispositions de la Convention d’interdiction des armes biologiques, abordera les étapes les plus importantes de l’implantation de ladite convention et développera un cadre juridique qui garantira sa stricte mise en œuvre, indique un communiqué du ministère de la Santé et de la Protection sociale.
L'atelier sera animé par un représentant de l’UNODA à Genève et verra la participation d’experts de la Libye ainsi que des spécialistes de divers départements gouvernementaux au Maroc, ajoute la même source.
La Convention d’interdiction des armes biologiques et à toxines en Libye est considérée comme le premier traité multilatéral de désarmement interdisant le développement, la production et le stockage de toute une gamme d’armes de destruction massive, étant donné que, le 10 avril 1972, cet accord a été ouvert à la signature des Etats parties et est entré en vigueur le 26 mars 1975, selon le communiqué.
Le Maroc a été l'un des premiers signataires de la convention d'interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction, puisqu’il l’a signée en 1972 et ratifiée en 2002, rappelle la même source.