Autres articles
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
D'après l'Institut national néo-zélandais pour la recherche sur l'eau et l'atmosphère (NIWA), le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique a diminué par rapport à l'année dernière. Il aurait atteint sa plus petite taille depuis les cinq dernières années.
Comme le précise le New Zealand Herald, le trou de la couche d'ozone mesurait cette année 22 millions de kilomètres carrés environ, soit deux millions de moins qu'en 2009. Alors que cette taille est la plus petite qui ait été enregistrée depuis cinq ans, Stephen Wood, chercheur au NIWA, est très optimiste face à cette résorption : "Nous disposons désormais d'une série de résultats sur plusieurs années qui tendent à montrer que nous devrions bientôt commencer à voir une réelle amélioration de la situation", affirme-t-il.
Mise au jour à la fin des années 1970, la diminution de l'ozone, qui à haute altitude absorbe la plus grande partie du rayonnement solaire ultraviolet, a réuni la communauté internationale autour d'un accord, le Protocole de Montréal. Un texte visant à éliminer progressivement les substances qui appauvrissent l'ozonosphère, telles que les chlorofluorocarbures (CFC) définitivement supprimées depuis 2009.
Comme le précise le New Zealand Herald, le trou de la couche d'ozone mesurait cette année 22 millions de kilomètres carrés environ, soit deux millions de moins qu'en 2009. Alors que cette taille est la plus petite qui ait été enregistrée depuis cinq ans, Stephen Wood, chercheur au NIWA, est très optimiste face à cette résorption : "Nous disposons désormais d'une série de résultats sur plusieurs années qui tendent à montrer que nous devrions bientôt commencer à voir une réelle amélioration de la situation", affirme-t-il.
Mise au jour à la fin des années 1970, la diminution de l'ozone, qui à haute altitude absorbe la plus grande partie du rayonnement solaire ultraviolet, a réuni la communauté internationale autour d'un accord, le Protocole de Montréal. Un texte visant à éliminer progressivement les substances qui appauvrissent l'ozonosphère, telles que les chlorofluorocarbures (CFC) définitivement supprimées depuis 2009.