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Aujourd'hui, une personne sur deux atteinte par la maladie d'Alzheimer l'ignore. Or, si elle est prise en charge au moment où les premiers troubles de mémoires apparaissent, la maladie peut être freinée, ralentie. Face à ce constat, l'Association Lecma-Vaincre Alzheimer lance une campagne d'information auprès du grand public pour convaincre de l'intérêt d'un diagnostic précoce. Face à la maladie d'Alzheimer, beaucoup de personnes préfèrent ne pas savoir, comme le montre l'enquête réalisée par l'Association Lecma-Vaincre Alzheimer.
Près de la moitié des 2.900 personnes interrogées avouent qu'en cas de doutes elles ne consulteraient pas. "Il y a trois raisons pour lesquelles les gens hésitent à se faire diagnostiquer", analyse Géraldine Drexel de Buchy, la directrice générale de l'association. "D'abord, c'est l'absence de traitement curatif. Ensuite, il y a la peur du diagnostic. Enfin, le manque d'information. Ils ne savent pas ce qu'est la maladie, quels en sont les symptômes, quel est le parcourt du diagnostic", poursuit-elle.
Et pourtant, en cas de troubles de mémoire ou du langage, il est capital de savoir si ce sont les premiers signes d'une maladie d'Alzheimer. Un diagnostic précoce est important, explique le docteur Maï Panchal, spécialiste des maladies neurodégénératives : "Poser un diagnostic lorsque les troubles sont légers, c'est très important puisque la maladie d'Alzheimer progresse très lentement."
Pour éviter que la maladie ne s'aggrave, le docteur Panchal défend l'importance de "la prévention secondaire". "Ce sont tous les facteurs de risque à éviter comme par exemple une hospitalisation, une anesthésie générale, une infection dont la fièvre peut aggraver les troubles de mémoire du patient. Il faut éviter aussi certains médicaments", explique-t-il. Alors, au moindre doute, il faut absolument prendre rendez-vous avec un médecin.
Près de la moitié des 2.900 personnes interrogées avouent qu'en cas de doutes elles ne consulteraient pas. "Il y a trois raisons pour lesquelles les gens hésitent à se faire diagnostiquer", analyse Géraldine Drexel de Buchy, la directrice générale de l'association. "D'abord, c'est l'absence de traitement curatif. Ensuite, il y a la peur du diagnostic. Enfin, le manque d'information. Ils ne savent pas ce qu'est la maladie, quels en sont les symptômes, quel est le parcourt du diagnostic", poursuit-elle.
Et pourtant, en cas de troubles de mémoire ou du langage, il est capital de savoir si ce sont les premiers signes d'une maladie d'Alzheimer. Un diagnostic précoce est important, explique le docteur Maï Panchal, spécialiste des maladies neurodégénératives : "Poser un diagnostic lorsque les troubles sont légers, c'est très important puisque la maladie d'Alzheimer progresse très lentement."
Pour éviter que la maladie ne s'aggrave, le docteur Panchal défend l'importance de "la prévention secondaire". "Ce sont tous les facteurs de risque à éviter comme par exemple une hospitalisation, une anesthésie générale, une infection dont la fièvre peut aggraver les troubles de mémoire du patient. Il faut éviter aussi certains médicaments", explique-t-il. Alors, au moindre doute, il faut absolument prendre rendez-vous avec un médecin.