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Alors que le procureur de Saint-Brieuc a ouvert une enquête sur les causes de la mort d'un homme de 48 ans qui avait manipulé des caisses d'algues vertes avant de succomber à un arrêt cardiaque en juillet, l'association Robin des Bois demande que ces algues soient inscrites au plus vite sur la liste des déchets dangereux.
Les algues vertes qui jonchent les plages de la baie de Saint-Brieuc émettent une très forte toxicité lorsqu'elles se décomposent. Ces émissions de gaz dangereux ont probablement tué un cheval le 28 juillet dernier sur la plage de Saint-Michel-en-Grève et auraient peut-être provoqué la mort d'un homme de 48 ans.
Une enquête préliminaire a été ouverte par le procureur de Saint-Brieuc afin de déterminer les causes réelles de la mort brutale de ce chauffeur qui avait transporté à mains nues le jour de sa mort, de nombreuses caisses d'algues vertes.
Alors que la secrétaire d'État à l'Écologie Chantal Jouanno a annoncé que le ramassage en mer des algues commencera au printemps prochain, l'association de protection de l'environnement Robin des Bois demande l'inscription "sans retard" des algues vertes "sur la liste des déchets dangereux". L'association demande aussi la protection de tous les acteurs de la filière depuis la collecte jusqu'au traitement des algues. Elle estime également nécessaire la création de filières fermées d'élimination comme l'évaluation de l'impact des algues pour la biodiversité, la pêche ou encore le tourisme de la région.
Les algues vertes qui jonchent les plages de la baie de Saint-Brieuc émettent une très forte toxicité lorsqu'elles se décomposent. Ces émissions de gaz dangereux ont probablement tué un cheval le 28 juillet dernier sur la plage de Saint-Michel-en-Grève et auraient peut-être provoqué la mort d'un homme de 48 ans.
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Alors que la secrétaire d'État à l'Écologie Chantal Jouanno a annoncé que le ramassage en mer des algues commencera au printemps prochain, l'association de protection de l'environnement Robin des Bois demande l'inscription "sans retard" des algues vertes "sur la liste des déchets dangereux". L'association demande aussi la protection de tous les acteurs de la filière depuis la collecte jusqu'au traitement des algues. Elle estime également nécessaire la création de filières fermées d'élimination comme l'évaluation de l'impact des algues pour la biodiversité, la pêche ou encore le tourisme de la région.