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Le trou dans la couche d'ozone au dessus de l'Antarctique devrait atteindre cette année 25 millions de kilomètres carrés, soit deux millions de kilomètres carrés de moins qu'en 2008, a annoncé mercredi l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
“Les conditions météorologiques observées à ce jour indiquent que le trou de la couche d'ozone en 2009 sera plus petit que ceux de 2006 et 2008, et proche de la taille de celui de 2007” (25 millions de kilomètres carrés), a indiqué l'agence onusienne dans un communiqué.
Le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique a été découvert dans les années 1980. Il commence à se former chaque année en août et atteint sa taille maximum à la fin septembre ou début octobre, avant de se combler à partir de la mi-décembre.
Cette année, le trou a commencé à se former “plus tôt”, a indiqué le spécialiste de l'ozone à l'OMM Geir Braathen. Le 16 septembre, il faisait 24 millions de kilomètres carrés.
Selon les scientifiques les dégâts causés par l'homme sont tels que la couche d'ozone ne devrait retrouver un état normal qu'en 2075. L'ozone protège la terre des rayons ultra-violets nocifs qui peuvent provoquer des brûlures, des lésions oculaires et des cancers de la peau.
Les principaux responsables du trou dans la couche d'ozone, les gaz chlorofluorocarbones (CFC), qui étaient utilisés comme réfrigérant et gaz propulseur dans des aérosols, ont été bannis par le protocole de Montréal de 1987.
“Les conditions météorologiques observées à ce jour indiquent que le trou de la couche d'ozone en 2009 sera plus petit que ceux de 2006 et 2008, et proche de la taille de celui de 2007” (25 millions de kilomètres carrés), a indiqué l'agence onusienne dans un communiqué.
Le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique a été découvert dans les années 1980. Il commence à se former chaque année en août et atteint sa taille maximum à la fin septembre ou début octobre, avant de se combler à partir de la mi-décembre.
Cette année, le trou a commencé à se former “plus tôt”, a indiqué le spécialiste de l'ozone à l'OMM Geir Braathen. Le 16 septembre, il faisait 24 millions de kilomètres carrés.
Selon les scientifiques les dégâts causés par l'homme sont tels que la couche d'ozone ne devrait retrouver un état normal qu'en 2075. L'ozone protège la terre des rayons ultra-violets nocifs qui peuvent provoquer des brûlures, des lésions oculaires et des cancers de la peau.
Les principaux responsables du trou dans la couche d'ozone, les gaz chlorofluorocarbones (CFC), qui étaient utilisés comme réfrigérant et gaz propulseur dans des aérosols, ont été bannis par le protocole de Montréal de 1987.