-
Déclaration finale de “l’Alliance social-démocrate dans le monde arabe” Soutien appuyé à l’intégrité territoriale du Royaume
-
Face aux cybermenaces: Un gouvernement dépourvu de toute stratégie et de vision
-
La Fête du travail sous l’ère d’une gestion gouvernementale calamiteuse
-
Présence distinguée et fructueuse de la délégation ittihadie à la Conférence de l’Alliance Progressiste à Hyderabad
L’organisation de cette rencontre faisait bien évidemment suite aux dernières allégations faisant assimiler Mehdi Ben Barka à un assassin. Comme l’a souligné, son fils, Bachir Ben Barka, cette conférence est une manière de battre en brèche toutes les tentatives visant « à assassiner moralement, symboliquement et politiquement un leader national et progressiste. C’est le militantisme et l’image même de Mehdi Benbarka qui sont visés aujourd’hui puisqu’on souhaite convaincre l’opinion publique que cette victime ne mérite pas qu’on se batte pour elle, en raison de sa responsabilité dans des crimes antérieurs » a-t-il dit. Ces allégations qui constituent assurément « un crime contre la justice, contre la mémoire et contre la vérité n’ont qu’un seul but, vider le dossier de Benbarka de sa teneur politique» a-t-il martelé, non sans amertume. Dans la foulée, Bachir Ben Barka a épinglé le CCDH qui a « exprimé sa volonté d’arrêter la mise en application des recommandations de l’Instance Equité et réconciliation et de s’abstenir d’informer la famille Ben Barka des progrès réalisés jusqu’à maintenant ». Et le fils du leader de conclure « qu’il y a eu des promesses de la part des plus hautes sphères du pouvoir au Maroc pour lever le voile sur la vérité. La seule issue aujourd’hui est de respecter le peuple marocain qui est suffisamment mûr d’accepter cette vérité, quelle qu’elle soit ». Cette rencontre, qui a été massivement suivie, a été marquée par deux témoignages dont celui du militant et nationaliste Houcine Aït Idder.