Autres articles
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs

Les femmes qui accouchent chez elles ont moins de risques de souffrir de saignements et d’hémorragie post-partum que celles qui accouchent à l’hôpital : voilà l’étonnante conclusion d’une étude menée par les chercheurs de l'Université de Southampton, en Grande-Bretagne, qui se sont penchés sur les dossiers médicaux de 500 000 femmes. Une conclusion qui n’a rien d’anodin lorsque l’on sait que l’hémorragie post-partum est la principale cause de décès liées à l’accouchement en France.
L’hémorragie post-partum se définit par une perte sanguine de plus de 500 ml dans les 24 heures qui suivent la naissance. Bien que ce type de saignement ne concerne que 5 % des naissances environ, il représente la principale cause de décès maternel en France car la majorité des HPP surviennent sans qu’aucun facteur de risque n’ait pu être identifié.
Selon les chercheurs anglais, la surmédicalisation de l’accouchement, l’usage de médicaments pour accélérer les contractions, la pratique courante de l'épisiotomie pour faciliter la sortie du bébé par voie basse ou encore la multiplication des césariennes provoquent des saignements intempestifs et compromettent la sécurité des femmes enceintes en plein travail.
«Toutes les femmes enceintes devraient en être informées et devraient pouvoir choisir librement le lieu où elles souhaitent accoucher», ajoute Janet Fyle, conseillère médicale au Collège royal des sages-femmes de Grande-Bretagne.
L’hémorragie post-partum se définit par une perte sanguine de plus de 500 ml dans les 24 heures qui suivent la naissance. Bien que ce type de saignement ne concerne que 5 % des naissances environ, il représente la principale cause de décès maternel en France car la majorité des HPP surviennent sans qu’aucun facteur de risque n’ait pu être identifié.
Selon les chercheurs anglais, la surmédicalisation de l’accouchement, l’usage de médicaments pour accélérer les contractions, la pratique courante de l'épisiotomie pour faciliter la sortie du bébé par voie basse ou encore la multiplication des césariennes provoquent des saignements intempestifs et compromettent la sécurité des femmes enceintes en plein travail.
«Toutes les femmes enceintes devraient en être informées et devraient pouvoir choisir librement le lieu où elles souhaitent accoucher», ajoute Janet Fyle, conseillère médicale au Collège royal des sages-femmes de Grande-Bretagne.