Autres articles
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
-
Plébiscité par les grandes maisons de luxe, le cuir "Made in Nigeria" se trace un avenir local
-
Une "planète vagabonde" engloutit gaz et poussières à un rythme effréné
Cette star incontestée du chaâbi marocain doit son surnom à sa tribu d’origine, les Ouled Sidi Bendaoud, du petit village de Ghissar du côté de Settat. Bidaoui de pure souche, Abdellah Daoudi est né en 1972 dans le quartier Sebata et a été initié dès son jeune âge à la musique chaâbi. En 1993, il rejoint le groupe «Noujoum el Samare» en qualité de choriste. Ses qualités vocales furent vite appréciées du groupe qui lui propose alors d'enregistrer deux chansons dans leur album «Nadia». C'est alors le déclic, car en 1996 Mustapha Bourgone le sollicite pour l'enregistrement de ses albums et l'entraîne dans ses tournées à l’étranger, notamment aux Etats-Unis. De retour au Maroc en 2000, Abdellah Daoudi enregistre son album «Ayta Daoudia» qui devient tout de suite un grand succès national, puis un tube international. Cela lui vaudra la reconnaissance du public, qui lui réserve un accueil chaleureux. Abdellah Daoudi a donc réussi son pari et est parvenu à se hisser au rang des stars les plus populaires de la chanson chaâbi.