Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Cette star incontestée du chaâbi marocain doit son surnom à sa tribu d’origine, les Ouled Sidi Bendaoud, du petit village de Ghissar du côté de Settat. Bidaoui de pure souche, Abdellah Daoudi est né en 1972 dans le quartier Sebata et a été initié dès son jeune âge à la musique chaâbi. En 1993, il rejoint le groupe «Noujoum el Samare» en qualité de choriste. Ses qualités vocales furent vite appréciées du groupe qui lui propose alors d'enregistrer deux chansons dans leur album «Nadia». C'est alors le déclic, car en 1996 Mustapha Bourgone le sollicite pour l'enregistrement de ses albums et l'entraîne dans ses tournées à l’étranger, notamment aux Etats-Unis. De retour au Maroc en 2000, Abdellah Daoudi enregistre son album «Ayta Daoudia» qui devient tout de suite un grand succès national, puis un tube international. Cela lui vaudra la reconnaissance du public, qui lui réserve un accueil chaleureux. Abdellah Daoudi a donc réussi son pari et est parvenu à se hisser au rang des stars les plus populaires de la chanson chaâbi.