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Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries
Ce phénomène a été observé dans le monde entier, chez des enfants de culture anglophone comme chez ceux et celles du Kenya, du Japon ou du Népal.
Si les psychologues ont commencé à se pencher au début du XIXème siècle sur la question des «amis imaginaires», c’est d’abord parce qu’ils craignaient que ce soit le symptôme d’une instabilité émotionnelle ou de problèmes psychologiques. Au vu des avancées de la recherche depuis deux décennies, il est devenu évident que c’est tout le contraire: de tels amis manifesteraient en fait un progrès de l’enfant dans son développement.
Le fait d’avoir un ami imaginaire est un phénomène étonnamment répandu. La plupart des gens connaissent quelqu’un qui a eu un camarade de jeu imaginaire quand il était jeune, ou en ont eu un eux-mêmes. Des études ont révélé que 65% des enfants sont concernés.
En général, c’est entre 3 ans et 5 ans qu’ils et elles commencent à s’inventer des amis imaginaires. Ce phénomène a été observé dans le monde entier, chez des enfants de culture anglophone, comme chez des enfants du Kenya, du Japon ou encore du Népal. Et cela ne concerne pas seulement ceux et celles dont le développement psychologique suit un schéma classique, mais aussi les enfants qui sont atteints de trisomie 21 ou d’autisme.
Les raisons pour lesquelles ils vont s’inventer des amis sont nombreuses et variées. De plus, chacun de ces compagnons de jeu fictif est unique, et signifie quelque chose de spécial pour son créateur. Mais l’une de leurs premières fonctions est tout simplement de soulager la solitude. Avec ces personnes imaginaires, on a toujours quelqu’un avec qui jouer. C’est pour cela que les aînés ou les enfants uniques sont plus susceptibles de se créer ce genre d’amis.
Autre motif classique du recours à un ami imaginaire: avoir quelqu’un à accuser de ses maladresses ou de ses bêtises. Selon leurs créateurs, les amis imaginaires peuvent être montrés du doigt en cas de vitres cassées ou de chambres mal rangées.
Si les psychologues ont commencé à se pencher au début du XIXème siècle sur la question des «amis imaginaires», c’est d’abord parce qu’ils craignaient que ce soit le symptôme d’une instabilité émotionnelle ou de problèmes psychologiques. Au vu des avancées de la recherche depuis deux décennies, il est devenu évident que c’est tout le contraire: de tels amis manifesteraient en fait un progrès de l’enfant dans son développement.
Le fait d’avoir un ami imaginaire est un phénomène étonnamment répandu. La plupart des gens connaissent quelqu’un qui a eu un camarade de jeu imaginaire quand il était jeune, ou en ont eu un eux-mêmes. Des études ont révélé que 65% des enfants sont concernés.
En général, c’est entre 3 ans et 5 ans qu’ils et elles commencent à s’inventer des amis imaginaires. Ce phénomène a été observé dans le monde entier, chez des enfants de culture anglophone, comme chez des enfants du Kenya, du Japon ou encore du Népal. Et cela ne concerne pas seulement ceux et celles dont le développement psychologique suit un schéma classique, mais aussi les enfants qui sont atteints de trisomie 21 ou d’autisme.
Les raisons pour lesquelles ils vont s’inventer des amis sont nombreuses et variées. De plus, chacun de ces compagnons de jeu fictif est unique, et signifie quelque chose de spécial pour son créateur. Mais l’une de leurs premières fonctions est tout simplement de soulager la solitude. Avec ces personnes imaginaires, on a toujours quelqu’un avec qui jouer. C’est pour cela que les aînés ou les enfants uniques sont plus susceptibles de se créer ce genre d’amis.
Autre motif classique du recours à un ami imaginaire: avoir quelqu’un à accuser de ses maladresses ou de ses bêtises. Selon leurs créateurs, les amis imaginaires peuvent être montrés du doigt en cas de vitres cassées ou de chambres mal rangées.