Autres articles
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
Le programme international d'observations atmosphériques mené en Antarctique, Concordiasi, lancera en septembre prochain une campagne de lâchers de ballons stratosphériques. Ce projet aura pour but de mesurer les données atmosphériques en Antarctique.
Cette opération, qui consistera en un lâcher de 18 ballons au-dessus de l'Antarctique, permettra de "mieux utiliser les données satellitaires dans les modèles climatiques, et de mieux comprendre les mécanismes de destruction de la couche d'ozone", a expliqué lors d'une conférence de presse Florence Rabier, responsable du projet pour Météo-France. La campagne durera au minimum trois mois lors desquels "nous allons doubler le nombre de profils atmosphériques dont nous disposons habituellement sur l'Antarctique" a-t-elle souligné.
Les ballons, tous équipés d'une nacelle capable de transporter des charges de 50 kilos d'instruments scientifiques, seront lâchés à partir de la base américaine de Mc Murdo, sur la côte antarctique. "Emportés par le vortex polaire, ils tourneront [...] à une altitude de 20 kilomètres au-dessus de l'Antarctique, afin de mieux connaître son climat et ses mécanismes de destruction de l'ozone stratosphérique".
L'ensemble des données recueillies devrait permettre aux scientifiques d'améliorer sensiblement leur connaissance de la météorologie de l'Antarctique afin de comprendre "le rôle de la calotte polaire antarctique dans le climat actuel de notre planète et son évolution".
Cette opération, qui consistera en un lâcher de 18 ballons au-dessus de l'Antarctique, permettra de "mieux utiliser les données satellitaires dans les modèles climatiques, et de mieux comprendre les mécanismes de destruction de la couche d'ozone", a expliqué lors d'une conférence de presse Florence Rabier, responsable du projet pour Météo-France. La campagne durera au minimum trois mois lors desquels "nous allons doubler le nombre de profils atmosphériques dont nous disposons habituellement sur l'Antarctique" a-t-elle souligné.
Les ballons, tous équipés d'une nacelle capable de transporter des charges de 50 kilos d'instruments scientifiques, seront lâchés à partir de la base américaine de Mc Murdo, sur la côte antarctique. "Emportés par le vortex polaire, ils tourneront [...] à une altitude de 20 kilomètres au-dessus de l'Antarctique, afin de mieux connaître son climat et ses mécanismes de destruction de l'ozone stratosphérique".
L'ensemble des données recueillies devrait permettre aux scientifiques d'améliorer sensiblement leur connaissance de la météorologie de l'Antarctique afin de comprendre "le rôle de la calotte polaire antarctique dans le climat actuel de notre planète et son évolution".