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Une nouvelle étude portant sur environ 95.000 enfants ayant des frères et soeurs plus âgés dont certains étaient autistes, n'a montré aucun lien entre le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (INPES) et l'autisme.
Les résultats de cette recherche publiée mardi dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) confirment de nombreuses autres études du même type effectuées ces quinze dernières années.
Malgré ces multiples preuves scientifiques, un certain nombre de parents continuent de penser qu'il existe une corrélation entre le triple vaccin INPES et un risque accru des troubles du spectre autistique (TSA).
Des enquêtes auprès de parents ayant un enfant souffrant d'autisme suggèrent qu'un grand nombre semble penser que ce triple vaccin y a contribué.
Cette croyance, combinée au fait qu'un enfant dont le frère ou la soeur aîné est autiste a un risque génétique accru de souffrir de ce trouble, pourrait conduire ces parents à ne pas faire vacciner leurs plus jeunes enfants, expliquent les auteurs.
Ces derniers ont analysé les demandes de remboursement de soins dans une banque de données d'un grand groupe d'assurance maladie.
L'étude de toutes ces données indique que le vaccin INPES n'est aucunement lié à un accroissement du risque d'autisme, quel que soit l'âge de la vaccination ou le fait qu'un frère ou une soeur plus âgé soit autiste, soulignent les auteurs de cette étude menée par la Dr Anjali Jain, du Lewin Group à Falls Church en Virginie (est).
Cette recherche a été financée en grande partie par les Instituts nationaux de la santé (NIH).
Les résultats de cette recherche publiée mardi dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) confirment de nombreuses autres études du même type effectuées ces quinze dernières années.
Malgré ces multiples preuves scientifiques, un certain nombre de parents continuent de penser qu'il existe une corrélation entre le triple vaccin INPES et un risque accru des troubles du spectre autistique (TSA).
Des enquêtes auprès de parents ayant un enfant souffrant d'autisme suggèrent qu'un grand nombre semble penser que ce triple vaccin y a contribué.
Cette croyance, combinée au fait qu'un enfant dont le frère ou la soeur aîné est autiste a un risque génétique accru de souffrir de ce trouble, pourrait conduire ces parents à ne pas faire vacciner leurs plus jeunes enfants, expliquent les auteurs.
Ces derniers ont analysé les demandes de remboursement de soins dans une banque de données d'un grand groupe d'assurance maladie.
L'étude de toutes ces données indique que le vaccin INPES n'est aucunement lié à un accroissement du risque d'autisme, quel que soit l'âge de la vaccination ou le fait qu'un frère ou une soeur plus âgé soit autiste, soulignent les auteurs de cette étude menée par la Dr Anjali Jain, du Lewin Group à Falls Church en Virginie (est).
Cette recherche a été financée en grande partie par les Instituts nationaux de la santé (NIH).