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Le surmenage au travail coûte près de 6 milliards de dollars chaque année à l'économie suisse, selon une étude de l'Université de Berne et l'Ecole des sciences appliquées de Zurich.
Plus d'un million des 4,9 millions de travailleurs en Suisse souffrent de stress excessif et deux millions d'épuisement plus ou moins important sur leur lieu de travail, souligne cette première enquête du genre sur "le stress au travail 2014".
D'après les auteurs de l'étude, "l'estime et le soutien des supérieurs ou encore la marge de manouvre sont autant de facteurs de protection et de prévention contre le surmenage et la dépression".
L'enquête montre que la majorité des employés gèrent bien les contraintes dans leur quotidien professionnel, mais pour un quart des personnes actives, ce n'est pas toujours le cas.
"Les jeunes en souffrent plus que la tranche d'âge de plus de 40 ans", précise-t-on, relevant que les résultats ne font globalement pas ressortir de différence entre femmes et hommes.
En outre, les employés à plein temps sont plus tendus que ceux qui travaillent à temps partiel, toujours sans différence notable entre femmes et hommes.
L'étude révèle que le stress est lié au rang hiérarchique: "Les chefs se disent moins stressés que les employés puisqu'ils bénéficient de plus de ressources pour alléger leur travail et de davantage de marge de manœuvre".
Le stress continu se manifeste à travers les absences maladie, la baisse de productivité, la réduction du temps de travail ou par des départs précoces, explique-t-on
Cette situation coûte cher aux entreprises, soit plus de 6 milliards de dollars par année, dont trois quarts sont dus à la baisse de la productivité.
Plus d'un million des 4,9 millions de travailleurs en Suisse souffrent de stress excessif et deux millions d'épuisement plus ou moins important sur leur lieu de travail, souligne cette première enquête du genre sur "le stress au travail 2014".
D'après les auteurs de l'étude, "l'estime et le soutien des supérieurs ou encore la marge de manouvre sont autant de facteurs de protection et de prévention contre le surmenage et la dépression".
L'enquête montre que la majorité des employés gèrent bien les contraintes dans leur quotidien professionnel, mais pour un quart des personnes actives, ce n'est pas toujours le cas.
"Les jeunes en souffrent plus que la tranche d'âge de plus de 40 ans", précise-t-on, relevant que les résultats ne font globalement pas ressortir de différence entre femmes et hommes.
En outre, les employés à plein temps sont plus tendus que ceux qui travaillent à temps partiel, toujours sans différence notable entre femmes et hommes.
L'étude révèle que le stress est lié au rang hiérarchique: "Les chefs se disent moins stressés que les employés puisqu'ils bénéficient de plus de ressources pour alléger leur travail et de davantage de marge de manœuvre".
Le stress continu se manifeste à travers les absences maladie, la baisse de productivité, la réduction du temps de travail ou par des départs précoces, explique-t-on
Cette situation coûte cher aux entreprises, soit plus de 6 milliards de dollars par année, dont trois quarts sont dus à la baisse de la productivité.