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Jouer “modérément” aux jeux vidéos peut être utile pour décrocher de meilleurs résultats à l’école, notamment pour les mathématiques, selon une étude de l’OCDE réalisée dans 65 pays et territoires, et publiée récemment.
“Un usage modéré des jeux vidéos” peut être utile notamment pour acquérir des “compétences spatiales, d’orientation géographique, de lecture de carte et aider les élèves à obtenir de meilleurs résultats pour la résolution des problèmes” en maths, a souligné Francesco Avvisati, analyste à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), lors d’une conférence de presse.
Mais pour qu’ils soient réellement utiles, les adolescents doivent jouer seuls et non en réseau, souligne l’étude.
Pour Francesco Avvisati, les jeunes filles gagneraient à jouer davantage aux jeux vidéos pour gagner “en confiance” et “accepter les erreurs”.
L’analyste souligne qu’au contraire, les garçons lorsqu’ils jouent trop aux jeux vidéos sont “plus susceptibles” d’”arriver en retard à l’école” ou de “sauter des jours d’école”.
Ce document a été réalisé à partir des données collectées pour l’étude Pisa 2012, qui questionnait plus de 510.000 jeunes âgés de 15 ans dans les pays membres de l’organisation ou volontaires pour l’étude. L’OCDE compte 34 membres, pour la plupart des pays développés comme les Etats-Unis, des pays de l’Union européenne, l’Australie ou le Japon mais également des Etats émergents (Mexique, Chili, Turquie...).
Le volet présenté relève entre autres que les garçons sont “plus susceptibles” de décrocher et les filles ont moins tendance à faire des études scientifiques, mettant en cause non pas des “différences d’aptitude innées”, autrement dit la génétique, mais des stéréotypes bien ancrés et véhiculés par la famille, les enseignants et la société.
“Un usage modéré des jeux vidéos” peut être utile notamment pour acquérir des “compétences spatiales, d’orientation géographique, de lecture de carte et aider les élèves à obtenir de meilleurs résultats pour la résolution des problèmes” en maths, a souligné Francesco Avvisati, analyste à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), lors d’une conférence de presse.
Mais pour qu’ils soient réellement utiles, les adolescents doivent jouer seuls et non en réseau, souligne l’étude.
Pour Francesco Avvisati, les jeunes filles gagneraient à jouer davantage aux jeux vidéos pour gagner “en confiance” et “accepter les erreurs”.
L’analyste souligne qu’au contraire, les garçons lorsqu’ils jouent trop aux jeux vidéos sont “plus susceptibles” d’”arriver en retard à l’école” ou de “sauter des jours d’école”.
Ce document a été réalisé à partir des données collectées pour l’étude Pisa 2012, qui questionnait plus de 510.000 jeunes âgés de 15 ans dans les pays membres de l’organisation ou volontaires pour l’étude. L’OCDE compte 34 membres, pour la plupart des pays développés comme les Etats-Unis, des pays de l’Union européenne, l’Australie ou le Japon mais également des Etats émergents (Mexique, Chili, Turquie...).
Le volet présenté relève entre autres que les garçons sont “plus susceptibles” de décrocher et les filles ont moins tendance à faire des études scientifiques, mettant en cause non pas des “différences d’aptitude innées”, autrement dit la génétique, mais des stéréotypes bien ancrés et véhiculés par la famille, les enseignants et la société.