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Le président de Sétif a oublié que ce n’était qu’un match de foot, pas plus ni moins, entre deux équipes. La logique du foot veut qu’il y ait un gagnant et un perdant et ça s’arrête là. Une semaine après, Hammar au lieu de vaquer à d’autres occupations, il s’est fixé sur ces déplorables actes qui avaient émaillé cette confrontation de la Ligue des champions, tenant à se donner en un pitoyable spectacle dans une vidéo faite davantage pour l’enfoncer que pour le servir.
Pantin comme il est, il a traité les Marocains de juifs, alors que le bon sens veut que toute personne fasse la part des choses. Pour lui, dans sa trop petite tête, «juif» est une insulte, alors qu’il devrait revenir à l’école, si jamais il y a été, pour apprendre à distinguer entre judaïsme et sionisme.
Des présidents de cette trempe, le football n’en a que cirer. Au lieu de faire des déclarations où le bon sens prime, voilà un Hammar qui s’emmêle les pinceaux, faisant tout pour envenimer la situation qui avait déjà atteint son paroxysme. Et ce n’est pas fortuit de voir le président délégué du Moghreb de Tétouan, Mohamed Achraf Abroun, afficher son soulagement quand le tirage au sort de la phase de poules de la Ligue des champions n’a pas débouché sur une confrontation entre le MAT et un quelconque club algérien.
Bref Hammar a réussi une chose. Il a décroché la palme du président le plus ridicule et c’est tout à son (dès) honneur.