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Le transport longue distance - au-delà de 300 km - est responsable des trois quarts des émissions de gaz à effet de serre dues aux transports et d'une grande partie de la pollution atmosphérique, selon une étude de l'Agence européenne de l'environnement parue lundi.
"Le transport longue distance représente une relativement faible proportion du nombre total de voyages effectués par les affréteurs et les voyageurs en Europe, pourtant (il) est responsable d'une part importante des impacts du secteur sur l'environnement", relève l'Agence dans son rapport annuel sur l'environnement et le transport.
Ainsi, "le transport longue distance de fret et de passagers représente au total jusqu'aux trois quarts des émissions de gaz à effet de serre" dues aux transports, indique le rapport.
Et les liaisons aériennes et maritimes internationales "sont à elles seules responsables de 19% des émisisions d'oxydes d'azote de l'Europe, de 17% des émissions totales d'oxydes de soufre et de 11% des émissions de particules PM2,5", précise-t-il.
"Les émissions de gaz à effet de serre résultant des transports ont diminué de 3,3% en 2012" et celles de polluants atmosphériques "ont aussi baissé" pour la plupart des modes de transport, sauf les avions qui ont émis une plus grande quantité de certains polluants, indique encore l'Agence.
Le transport aérien "s'est développé très rapidement ces dernières décennies", relève l'Agence. "Des recherches suggèrent que les jeunes générations préfèrent consacrer leur revenu à des voyages longue distance plutôt qu'à des produits de consommation comme les voitures", ajoute-t-elle.
La qualité de l'air est cependant "toujours mauvaise pour la santé dans les villes européennes", souligne l'Agence.
"Les niveaux de dioxyde d'azote et de particules dans les villes ont été aggravés par la proportion croissante de voitures diesel", estime-t-elle. "Cela résulte en partie des politiques fiscales en matière de carburants dans la plupart des pays européens, qui donnent la préférence au diesel" par rapport à l'essence, explique-t-elle.
Dans les 28 Etats de l'Union européenne, la part moyenne des énergies renouvelables dans les transports a grimpé de 3,4% en 2011 à 5,1% en 2012, indique encore l'Agence européenne de l'environnement.
Les véhicules électriques et hybrides ont représenté en 2013 0,5% des nouvelles immatriculations dans l'UE.
"Le transport longue distance représente une relativement faible proportion du nombre total de voyages effectués par les affréteurs et les voyageurs en Europe, pourtant (il) est responsable d'une part importante des impacts du secteur sur l'environnement", relève l'Agence dans son rapport annuel sur l'environnement et le transport.
Ainsi, "le transport longue distance de fret et de passagers représente au total jusqu'aux trois quarts des émissions de gaz à effet de serre" dues aux transports, indique le rapport.
Et les liaisons aériennes et maritimes internationales "sont à elles seules responsables de 19% des émisisions d'oxydes d'azote de l'Europe, de 17% des émissions totales d'oxydes de soufre et de 11% des émissions de particules PM2,5", précise-t-il.
"Les émissions de gaz à effet de serre résultant des transports ont diminué de 3,3% en 2012" et celles de polluants atmosphériques "ont aussi baissé" pour la plupart des modes de transport, sauf les avions qui ont émis une plus grande quantité de certains polluants, indique encore l'Agence.
Le transport aérien "s'est développé très rapidement ces dernières décennies", relève l'Agence. "Des recherches suggèrent que les jeunes générations préfèrent consacrer leur revenu à des voyages longue distance plutôt qu'à des produits de consommation comme les voitures", ajoute-t-elle.
La qualité de l'air est cependant "toujours mauvaise pour la santé dans les villes européennes", souligne l'Agence.
"Les niveaux de dioxyde d'azote et de particules dans les villes ont été aggravés par la proportion croissante de voitures diesel", estime-t-elle. "Cela résulte en partie des politiques fiscales en matière de carburants dans la plupart des pays européens, qui donnent la préférence au diesel" par rapport à l'essence, explique-t-elle.
Dans les 28 Etats de l'Union européenne, la part moyenne des énergies renouvelables dans les transports a grimpé de 3,4% en 2011 à 5,1% en 2012, indique encore l'Agence européenne de l'environnement.
Les véhicules électriques et hybrides ont représenté en 2013 0,5% des nouvelles immatriculations dans l'UE.