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La 32e édition du Festival international du théâtre expérimental du Caire, un rendez-vous pour mettre en avant les présentations théâtrales de divers pays, aura lieu, du 1er au 8 septembre prochain.
Cet événement artistique se veut un espace de dialogue et de communication entre les peuples en vue de faire découvrir au public égyptien et arabe les dernières oeuvres théâtrales et de permettre aux artistes venus du monde entier d'échanger leurs expériences.
Vingt présentations théâtrales issues de différents pays sont en lice dans la compétition officielle de cette manifestation, dont 13 arabes et 7 étrangères.
Cette édition rendra aussi hommage à 11 figures du théâtre égyptien, arabe et mondial, en reconnaissance de leurs contributions en matière d'interprétation théâtrale, de mise en scène, de critique et de recherche académique.
Au programme du festival figurent des conférences et débats sur différents sujets se rapportant au théâtre mondial.
Le festival rendra aussi des hommages posthumes à plusieurs artistes disparus dont les œuvres restent à jamais gravées dans la mémoire, tels que l'Irakien Sami Abdul Hamid, le Marocain Hassan El Mniai et l'Egyptien Hanna Abdel Fattah.
En parallèle des présentations théâtrales, cette édition proposera neuf ateliers artistiques portant sur la diction, la critique, l'expression corporelle, la dynamique du travail collectif, l'intelligence artificielle appliquée à la scénographie, l'art du maquillage et du déguisement, ainsi que l'improvisation et la création instantanée.
Le festival publiera également 11 nouveaux ouvrages documentant les dernières perspectives théâtrales internationales.
Le jury de l'événement réunit une sélection de créateurs de renom, présidé par l’Italien Salvatore Bitonti, et composé des réalisateurs et des critiques venus d’Egypte, du monde arabe et d’Europe.
Cet événement artistique se veut un espace de dialogue et de communication entre les peuples en vue de faire découvrir au public égyptien et arabe les dernières oeuvres théâtrales et de permettre aux artistes venus du monde entier d'échanger leurs expériences.
Vingt présentations théâtrales issues de différents pays sont en lice dans la compétition officielle de cette manifestation, dont 13 arabes et 7 étrangères.
Cette édition rendra aussi hommage à 11 figures du théâtre égyptien, arabe et mondial, en reconnaissance de leurs contributions en matière d'interprétation théâtrale, de mise en scène, de critique et de recherche académique.
Au programme du festival figurent des conférences et débats sur différents sujets se rapportant au théâtre mondial.
Le festival rendra aussi des hommages posthumes à plusieurs artistes disparus dont les œuvres restent à jamais gravées dans la mémoire, tels que l'Irakien Sami Abdul Hamid, le Marocain Hassan El Mniai et l'Egyptien Hanna Abdel Fattah.
En parallèle des présentations théâtrales, cette édition proposera neuf ateliers artistiques portant sur la diction, la critique, l'expression corporelle, la dynamique du travail collectif, l'intelligence artificielle appliquée à la scénographie, l'art du maquillage et du déguisement, ainsi que l'improvisation et la création instantanée.
Le festival publiera également 11 nouveaux ouvrages documentant les dernières perspectives théâtrales internationales.
Le jury de l'événement réunit une sélection de créateurs de renom, présidé par l’Italien Salvatore Bitonti, et composé des réalisateurs et des critiques venus d’Egypte, du monde arabe et d’Europe.
Bouillon de culture
Moussem de Tan-Tan
Le journal français "Le Parisien" a vanté, vendredi, les festivités du Moussem de Tan-Tan, la plus grande fête célébrant au Maroc les traditions ancestrales de la vie nomade.
Dans un reportage de six pages, le quotidien relate les cinq jours du Moussem, inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco en 2008, autour d’une programmation riche destinée à perpétuer cette mémoire collective avec au menu folklore, parades traditionnelles (Tbourida), courses de dromadaires et concerts de musiques.
Le Moussem de Tan-Tan, né en 1963 dans cette ville du sud du Maroc, est aujourd’hui «le plus grand du pays» rassemblant chaque année des tribus venues de tout le Royaume, écrit le quotidien qui note que «bien que la majorité des nomades marocains soient aujourd’hui sédentarisés, le festival est l’occasion de renouer avec les traditions ancestrales et de perpétuer la mémoire collective».
Le reportage donne la parole aux organisateurs, aux festivaliers et aux locaux, témoignant de l’évolution de cet événement qui « reste incontournable ».
Le reportage évoque aussi l’internationalisation du Moussem de Tan-Tan, qui, dès 2014 a noué un partenariat privilégié avec les Emirats arabes unis leur permettant d’y participer via un espace pour exposer leur culture, notant que cette année, près de 120 Emiratis y sont venus.
Cité par le journal, le porte-parole de la délégation émiratie, Omar Al Saeed, souligne à cet égard les relations séculaires qu'entretiennent les Emirats arabes unis avec le Maroc, affirmant que «c’est la même culture que chez-nous, ici, celle du désert».
Du côté des locaux, des jeunes approchés par le journal assurent que «c’est le grand moment de la ville, tout le monde est là !».
Le journal français "Le Parisien" a vanté, vendredi, les festivités du Moussem de Tan-Tan, la plus grande fête célébrant au Maroc les traditions ancestrales de la vie nomade.
Dans un reportage de six pages, le quotidien relate les cinq jours du Moussem, inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco en 2008, autour d’une programmation riche destinée à perpétuer cette mémoire collective avec au menu folklore, parades traditionnelles (Tbourida), courses de dromadaires et concerts de musiques.
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Du côté des locaux, des jeunes approchés par le journal assurent que «c’est le grand moment de la ville, tout le monde est là !».