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Libé : A quoi ressemble la journée d’un candidat aux élections législatives ?
W.B : A beaucoup d’efforts physiques et de stress même si je pense qu’elle ressemble d’une certaine manière à mes journées ordinaires et qu’il n’y a pas tellement de différence. Mais peu importe. Ces jours-ci, ma journée commence à 6H. Comme d’habitude, j’accomplis mes devoirs familiaux (accompagner les enfants à l’école, faire des courses, etc.). Après, je fais mes premières réunions avec les militants chargés de la campagne électorale. Vers 16H, j‘entame mes premières tournées dans les quartiers de ma circonscription. Cela va durer normalement jusqu’à 21h00 avant de continuer avec une série de rencontres avec la population qui durent jusqu’à minuit.
Alors comment vous organisez-vous pour faire face à pareilles obligations ?
A vrai dire, c’est très difficile de s’organiser dans de telles conditions, même si on essaie de mettre en place un programme pour gérer nos mouvements tout au long de la journée. Les imprévus s’invitent souvent à notre agenda de la journée et nous empêchent de respecter tous nos engagements.
Ceci d’autant plus que chaque jour, on doit faire des dizaines de rencontres, des réunions, des visites qui demandent beaucoup de temps dont on ne dispose même pas. Pourtant, on arrive à nous en sortir.
Et comment se présente votre campagne ?
Je ne vous cache pas qu’elle est difficile à mener notamment avec des concurrents qui ne sont pas intègres et qui sont des spécialistes de la falsification des résultats des urnes. D’autant plus que cette circonscription est vaste et très peuplée.
Toutefois, je pense que ma candidature a insufflé une dynamique nouvelle, car ma liste n’est constituée que de jeunes et s’inscrit parfaitement dans le contexte actuel du pays et de la région qui appelle à davantage d’implication des jeunes dans la gestion des affaires publiques.
Quel regard portez-vous sur votre campagne à la veille du scrutin ?
C’est difficile de décrire ce que je ressens. Mais, je tiens à préciser que, quel que soit le résultat, je suis fier de participer à cette échéance électorale. Qu’il s’agisse de moi ou de mon équipe, nous nous sommes battus pour une nouvelle conception de la politique et de nouvelles valeurs. Notre campagne a été celle des valeurs, des idées et de la foi en des lendemains meilleurs.
W.B : A beaucoup d’efforts physiques et de stress même si je pense qu’elle ressemble d’une certaine manière à mes journées ordinaires et qu’il n’y a pas tellement de différence. Mais peu importe. Ces jours-ci, ma journée commence à 6H. Comme d’habitude, j’accomplis mes devoirs familiaux (accompagner les enfants à l’école, faire des courses, etc.). Après, je fais mes premières réunions avec les militants chargés de la campagne électorale. Vers 16H, j‘entame mes premières tournées dans les quartiers de ma circonscription. Cela va durer normalement jusqu’à 21h00 avant de continuer avec une série de rencontres avec la population qui durent jusqu’à minuit.
Alors comment vous organisez-vous pour faire face à pareilles obligations ?
A vrai dire, c’est très difficile de s’organiser dans de telles conditions, même si on essaie de mettre en place un programme pour gérer nos mouvements tout au long de la journée. Les imprévus s’invitent souvent à notre agenda de la journée et nous empêchent de respecter tous nos engagements.
Ceci d’autant plus que chaque jour, on doit faire des dizaines de rencontres, des réunions, des visites qui demandent beaucoup de temps dont on ne dispose même pas. Pourtant, on arrive à nous en sortir.
Et comment se présente votre campagne ?
Je ne vous cache pas qu’elle est difficile à mener notamment avec des concurrents qui ne sont pas intègres et qui sont des spécialistes de la falsification des résultats des urnes. D’autant plus que cette circonscription est vaste et très peuplée.
Toutefois, je pense que ma candidature a insufflé une dynamique nouvelle, car ma liste n’est constituée que de jeunes et s’inscrit parfaitement dans le contexte actuel du pays et de la région qui appelle à davantage d’implication des jeunes dans la gestion des affaires publiques.
Quel regard portez-vous sur votre campagne à la veille du scrutin ?
C’est difficile de décrire ce que je ressens. Mais, je tiens à préciser que, quel que soit le résultat, je suis fier de participer à cette échéance électorale. Qu’il s’agisse de moi ou de mon équipe, nous nous sommes battus pour une nouvelle conception de la politique et de nouvelles valeurs. Notre campagne a été celle des valeurs, des idées et de la foi en des lendemains meilleurs.