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Par ailleurs, s’agissant des finances publiques, les résultats de l’exécution de la loi de Finances 2009 au terme du 1er semestre sont, selon Salaheddine Mezouar, globalement favorables et que le déficit budgétaire devrait s’établir à 2,5% du PIB contre 2,9% prévu.
D’autre part, le gouverneur de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, a mis l’accent sur l’évolution des prix : « Il est important de souligner que le Maroc s’est inscrit dans un mouvement désinflationniste global, avec un taux d’inflation qui s’est stabilisé autour de 2% en moyenne entre 1997 et 2008. De même, la volatilité de l’inflation a sensiblement baissé, en particulier pour l’inflation sous-jacente. Dans le même temps, les transactions courantes ont dégagé un excédent de l’ordre de 2% du BIP en moyenne entre 2001 et 2007, tandis que les réserves de change se sont consolidées pour représenter environ 9 mois d’importation de biens et services au cours de ladite période ».
Au cours de la même réunion, les membres du CNCE (Conseil national du crédit et de l’épargne) ont salué également la «bonne résilience» du secteur bancaire marocain face à la crise financière internationale, qui a touché plusieurs économies de par le monde. Et ils sont tous unanimes sur le fait qu’il est plus que jamais nécessaire de prendre davantage « de mesures structurelles» et de mettre en œuvre des «politiques sectorielles», prenant en considération les mutations en cours dans le but de préserver les acquis».