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Vernissage à la BNRM de l’exposition "De la Marche verte à la Marche de développement"
Le rideau est tombé, vendredi soir à Casablanca, sur la 31ème édition du Festival international d'art Vidéo de Casablanca (FIAV), avec des prestations artistiques mêlant art et science au service des grandes causes sociétales et humanitaires.
La clôture de cette édition a été marquée par une exposition des artistes Christian Mamoun et Louis Cacciuttolo, donnant à voir une composition artistique singulière combinant photos et techniques de réalité augmentée.
Ce travail créatif, qui constitue une fusion artistique entre le riche patrimoine culturel et la technologie moderne, vise à raviver la mémoire collective en explorant les possibilités de l’intelligence artificielle et des nouvelles technologies, reflétant une vision renouvelée où passé et présent se conjuguent dans une œuvre artistique porteuse d’un message humain et culturel profond.
La soirée de clôture a été également ponctuée par la présentation d’une performance artistique intitulée "FOZ MACHINE", un spectacle de mapping accompagné d’une installation vidéo interactive en direct, conçu par l’artiste Fred Chemmama, qui y a mis en avant les diverses possibilités offertes par les arts numériques interactifs, enrichissant l’expérience des visiteurs en leur proposant une expérience immersive dans un espace artistique interactif unique.
A cette occasion, l'artiste Christian Mamoun a indiqué, dans une déclaration à la MAP, que l’exposition présente un ensemble de tableaux constitués principalement de pièces de zellige, notant que Louis Cacciuttolo s'est chargé de l'animation de ces œuvres grâce à la musique et l’intelligence artificielle.
De son côté, le directeur du festival, Majid Seddati, a souligné que cette édition du FIAV, qui a mis en lumière de nouvelles formes d’expression artistique, a constitué un espace privilégié de création, d’échange et de formation au profit des jeunes Marocains.
Il a fait état de la richesse de la programmation de cette édition, avec notamment des performances audiovisuelles, des spectacles de vidéomapping, ainsi que de la robotique, des jeux numériques, des projections de films, en plus d’ateliers et de master classes animés par des artistes et des universitaires.
Le programme de cette édition comprenait également l'organisation d'un colloque international, parallèlement au festival, autour du thème "Identités désincarnées : corps, virtualité et reconstruction de soi". Cet événement a réuni des chercheurs marocains et étrangers, dans une approche interdisciplinaire mêlant sciences humaines, arts et technologies.
La clôture de cette édition a été marquée par une exposition des artistes Christian Mamoun et Louis Cacciuttolo, donnant à voir une composition artistique singulière combinant photos et techniques de réalité augmentée.
Ce travail créatif, qui constitue une fusion artistique entre le riche patrimoine culturel et la technologie moderne, vise à raviver la mémoire collective en explorant les possibilités de l’intelligence artificielle et des nouvelles technologies, reflétant une vision renouvelée où passé et présent se conjuguent dans une œuvre artistique porteuse d’un message humain et culturel profond.
La soirée de clôture a été également ponctuée par la présentation d’une performance artistique intitulée "FOZ MACHINE", un spectacle de mapping accompagné d’une installation vidéo interactive en direct, conçu par l’artiste Fred Chemmama, qui y a mis en avant les diverses possibilités offertes par les arts numériques interactifs, enrichissant l’expérience des visiteurs en leur proposant une expérience immersive dans un espace artistique interactif unique.
A cette occasion, l'artiste Christian Mamoun a indiqué, dans une déclaration à la MAP, que l’exposition présente un ensemble de tableaux constitués principalement de pièces de zellige, notant que Louis Cacciuttolo s'est chargé de l'animation de ces œuvres grâce à la musique et l’intelligence artificielle.
De son côté, le directeur du festival, Majid Seddati, a souligné que cette édition du FIAV, qui a mis en lumière de nouvelles formes d’expression artistique, a constitué un espace privilégié de création, d’échange et de formation au profit des jeunes Marocains.
Il a fait état de la richesse de la programmation de cette édition, avec notamment des performances audiovisuelles, des spectacles de vidéomapping, ainsi que de la robotique, des jeux numériques, des projections de films, en plus d’ateliers et de master classes animés par des artistes et des universitaires.
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Bouillon de culture
Exposition
Le vernissage de l’exposition "Entre deux continents" de l’artiste-peintre Aymane Bufrakech a eu lieu, jeudi à l'espace "Rivages" au siège de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger, en présence de nombreux passionnés d’art et d’un public curieux de découvrir l’univers créatif de ce jeune talent.
Dans sa production artistique, l'artiste ose une exploration libre qui mène à une diversité créative. Il s’engage dans un travail assidu autour de la mémoire et des émotions, guidé par un attachement indéfectible à son pays d’origine, le Maroc, où il puise les formes et les couleurs.
A cette occasion, l’artiste, originaire de Tanger, a indiqué que cette exposition organisée par la Fondation jusqu'au 12 décembre est le fruit de plusieurs années de travail et de recherche, précisant que son objectif est de refléter sa propre expérience entre les deux rives de la Méditerranée.
Les œuvres exposées à Rabat évoquent la vie quotidienne dans des villes marocaines et espagnoles ainsi que diverses thématiques sociales, a-t-il relevé.
L’artiste Houda Benjelloune a souligné, de son côté, que l’expérience migratoire d’Aymane Bufrakech transparaît clairement dans ses œuvres, à travers l’expression de ses émotions et de sa spontanéité, ajoutant que les productions du jeune talent se démarquent par leur authenticité et leur sensibilité.
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Les œuvres exposées à Rabat évoquent la vie quotidienne dans des villes marocaines et espagnoles ainsi que diverses thématiques sociales, a-t-il relevé.
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