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"De la Marche Verte aux Marches de Développement", est l’intitulé d’une exposition de photographies, d’objets d’époque et de productions vidéo organisée à Rissani (province d'Errachidia), mettant en lumière les étapes phares de la Glorieuse Marche Verte, et les dimensions historiques, juridiques et populaires de cette épopée radieuse de l’histoire du Royaume.
La cérémonie d’inauguration de cette exposition a eu lieu en marge du coup d’envoi de la 28è session de l’Université Moulay Ali Chérif en présence notamment de la Directrice des Archives Royales, Mme Bahija Simou, du secrétaire général par intérim du Département de la Culture, Salaheddine Abkari, du Wali de la région Drâa-Tafilalet, gouverneur de la province d'Errachidia, Essaid Zniber ainsi qu’une pléiade d’universitaires et d’académiciens.
L’exposition comprend plusieurs galeries permettant au visiteur d’apprécier des objets d’époque, des pièces de monnaie, des timbres commémoratifs, des documents écrits, des images iconographiques et immersives, ainsi que des projections basées sur les Nouvelles technologies.
Dans une déclaration à la MAP, Mme Bahija Simou a indiqué que cette exposition organisée conjointement par le ministère de la Culture et l’Institution des Archives Royales intervient dans le sillage des festivités célébrant le 50è anniversaire de la Marche Verte et le 70ᵉ anniversaire de la Fête de l'Indépendance et suite à la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l'ONU, consacrant la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud.
L’exposition qui donne à voir une multitude de preuves historiques, d’archives et de manuscrits officiels qui prouvent la marocanité du Sahara, braque les projecteurs également sur les étapes phares dans le processus de réalisation de l’intégrité territoriale du Royaume, explique Mme Simou.
Entre Dahirs, lettres de Beia (allégeance) et nominations de caïds, de pachas et de magistrats, ces documents historiques prouvent que les Sultans marocains ont toujours exercé leurs pouvoirs sur les provinces du Sud comme sur les autres provinces du Royaume, souligne l’historienne.
L’exposition, a-t-elle poursuivi, s’articule autour de plusieurs axes portant notamment sur les fondements légitimes et diplomatiques de la Marche Verte, les dispositifs organisationnels et préparatifs de cet événement ainsi que l’écho de la Marche Verte dans la presse nationale et internationale ainsi que dans la création artistique et littéraire.
De la Marche Verte de son artisan, feu SM Hassan II, aux Marches de développement, tous azimuts, que connait aujourd’hui le Maroc sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, l’exposition plonge le visiteur dans les étapes phares de l’histoire glorieuse du Royaume, a-t-elle relevé.
L’historienne a ajouté que cette exposition entend rapprocher les jeunes générations de l’histoire glorieuse de leur pays, notant que l’exposition est conçue selon les techniques les plus modernes en faisant appel à un ingénieur scénographe marocain.
La cérémonie d’inauguration de cette exposition a eu lieu en marge du coup d’envoi de la 28è session de l’Université Moulay Ali Chérif en présence notamment de la Directrice des Archives Royales, Mme Bahija Simou, du secrétaire général par intérim du Département de la Culture, Salaheddine Abkari, du Wali de la région Drâa-Tafilalet, gouverneur de la province d'Errachidia, Essaid Zniber ainsi qu’une pléiade d’universitaires et d’académiciens.
L’exposition comprend plusieurs galeries permettant au visiteur d’apprécier des objets d’époque, des pièces de monnaie, des timbres commémoratifs, des documents écrits, des images iconographiques et immersives, ainsi que des projections basées sur les Nouvelles technologies.
Dans une déclaration à la MAP, Mme Bahija Simou a indiqué que cette exposition organisée conjointement par le ministère de la Culture et l’Institution des Archives Royales intervient dans le sillage des festivités célébrant le 50è anniversaire de la Marche Verte et le 70ᵉ anniversaire de la Fête de l'Indépendance et suite à la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l'ONU, consacrant la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud.
L’exposition qui donne à voir une multitude de preuves historiques, d’archives et de manuscrits officiels qui prouvent la marocanité du Sahara, braque les projecteurs également sur les étapes phares dans le processus de réalisation de l’intégrité territoriale du Royaume, explique Mme Simou.
Entre Dahirs, lettres de Beia (allégeance) et nominations de caïds, de pachas et de magistrats, ces documents historiques prouvent que les Sultans marocains ont toujours exercé leurs pouvoirs sur les provinces du Sud comme sur les autres provinces du Royaume, souligne l’historienne.
L’exposition, a-t-elle poursuivi, s’articule autour de plusieurs axes portant notamment sur les fondements légitimes et diplomatiques de la Marche Verte, les dispositifs organisationnels et préparatifs de cet événement ainsi que l’écho de la Marche Verte dans la presse nationale et internationale ainsi que dans la création artistique et littéraire.
De la Marche Verte de son artisan, feu SM Hassan II, aux Marches de développement, tous azimuts, que connait aujourd’hui le Maroc sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, l’exposition plonge le visiteur dans les étapes phares de l’histoire glorieuse du Royaume, a-t-elle relevé.
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Bouillon de culture
Conférence
Le chercheur marocain, Abderrahim Benhadda, a animé récemment à Beit Al-Hikma à Tunis une conférence sur "Les inflexions de l'écriture historique au Maroc: de la formation à l'essor".
Cette rencontre a été l'occasion de proposer une lecture approfondie du processus de formation de l'écriture historique au Maroc et de ses grandes mutations, depuis la période antérieure à son institutionnalisation et à sa professionnalisation jusqu’à l’époque actuelle, et ce dans une perspective épistémologique prenant en compte les contextes politiques et culturels de chaque étape.
Atelier
Un atelier de formation interactif sur le thème "Gestion et animation culturelle du patrimoine historique" s'est tenu, récemment à Tétouan, au profit d’acteurs institutionnels et associatifs, ainsi que de plusieurs cadres et fonctionnaires de la commune de Tétouan et des représentants des instances consultatives de dialogue et de concertation auprès de la commune.
Organisé par la commune de Tétouan en partenariat avec l’ambassade d’Espagne à Rabat et en collaboration avec l’Institut Cervantès, cet atelier vise à initier les participants à un ensemble de concepts et de thématiques liés à la gestion culturelle, à son rôle dans le développement économique, au dialogue culturel comme outil de communication, ainsi qu’à la planification financière et à la gestion des ressources.
Les participants ont été répartis en groupes de travail thématiques et se sont inspirés de l’exemple de la ville de Malaga en Espagne.
A travers cette initiative, la commune de Tétouan entend renforcer les capacités des acteurs du secteur culturel en matière de gestion de l’animation culturelle, selon une approche de développement qui considère la culture comme un vecteur de communication et de dialogue entre les peuples et comme un moteur du développement économique.
Cette action s’inscrit également dans la qualification des ressources humaines, en vue de la célébration de la proclamation de Tétouan comme capitale méditerranéenne de la culture et du dialogue pour 2026.
Le chercheur marocain, Abderrahim Benhadda, a animé récemment à Beit Al-Hikma à Tunis une conférence sur "Les inflexions de l'écriture historique au Maroc: de la formation à l'essor".
Cette rencontre a été l'occasion de proposer une lecture approfondie du processus de formation de l'écriture historique au Maroc et de ses grandes mutations, depuis la période antérieure à son institutionnalisation et à sa professionnalisation jusqu’à l’époque actuelle, et ce dans une perspective épistémologique prenant en compte les contextes politiques et culturels de chaque étape.
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Un atelier de formation interactif sur le thème "Gestion et animation culturelle du patrimoine historique" s'est tenu, récemment à Tétouan, au profit d’acteurs institutionnels et associatifs, ainsi que de plusieurs cadres et fonctionnaires de la commune de Tétouan et des représentants des instances consultatives de dialogue et de concertation auprès de la commune.
Organisé par la commune de Tétouan en partenariat avec l’ambassade d’Espagne à Rabat et en collaboration avec l’Institut Cervantès, cet atelier vise à initier les participants à un ensemble de concepts et de thématiques liés à la gestion culturelle, à son rôle dans le développement économique, au dialogue culturel comme outil de communication, ainsi qu’à la planification financière et à la gestion des ressources.
Les participants ont été répartis en groupes de travail thématiques et se sont inspirés de l’exemple de la ville de Malaga en Espagne.
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