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Près d’une centaine d’entre eux se sont rassemblés vers 17h dans la place du Méchouar attenante à l’ancien palais du Khalife pour scander leurs doléances.
Malgré le fait que les responsables des différents corps des forces d’intervention et du maintien de l’ordre, aient quadrillé la manifestation et barré la route à tous ceux qui tentaient de rejoindre les protestataires, le nombre de ceux-ci n’a cessé d’augmenter au point d’atteindre les cinq cent.
A l’instar des slogans de leur précédente marche, des doléances à caractère local ont été exprimées par certains manifestants venus des régions de Tiznit. C’est le cas des habitants de Tazount dans la commune d’Afella Ighir qui se plaignent du sort infligé à leur village à cause de l’exploitation d’une mine d’or dans ses parages.
La manifestation s’est poursuivie jusqu’à 18h30, avant qu’elle ne se disperse dans une ambiance bon enfant sans enregistrer d’incidents regrettables, ni d’actes de violence.
« Nous allons désormais exprimer chaque samedi notre colère et nos doléances jusqu’à leur satisfaction », ont promis les jeunes de la coordination locale du mouvement du 20 février.

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