Neuf mois après sa formation au terme d'un long feuilleton politique, le gouvernement de Saad Eddine El Othmani a présenté un bilan qui s’est caractérisé par une série de réformes et de promesses visant à surmonter une conjoncture difficile.
De l’économie, à l’emploi et à l’éducation en passant par la justice, la santé, il a multiplié les interventions de nature à redonner confiance aux investisseurs et à impulser l’énergie idoine à l’action qu’il mène pour faire face à des contraintes qui ne lui laissent pas de répit.
Dans un document détaillant son bilan à fin septembre, il a précisé que ces contraintes ont porté principalement sur le retard pris dans l’adoption de la loi de Finances 2017 et les défis relatifs à la gestion des événements d’Al Hoceima qui ont directement impacté certains ministres.
A ce propos, l’opinion publique retiendra de l’année 2017 la décision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de mettre fin aux fonctions de plusieurs responsables ministériels en raison du retard injustifié dans l'exécution du projet "Al Hoceïma : Manarat Al Moutawassit".
Le Souverain a notifié à d’autres responsables du gouvernement précédent également concernés par ces dysfonctionnements, sa non-satisfaction, pour n’avoir pas été à la hauteur de la confiance placée en eux par le Souverain, affirmant qu’aucune fonction officielle ne leur sera confiée à l’avenir.
Idem pour l’administration territoriale où un wali, six gouverneurs et 86 fonctionnaires classés dans d’autres grades ont été suspendus de l’exercice de leurs fonctions.
De l’économie, à l’emploi et à l’éducation en passant par la justice, la santé, il a multiplié les interventions de nature à redonner confiance aux investisseurs et à impulser l’énergie idoine à l’action qu’il mène pour faire face à des contraintes qui ne lui laissent pas de répit.
Dans un document détaillant son bilan à fin septembre, il a précisé que ces contraintes ont porté principalement sur le retard pris dans l’adoption de la loi de Finances 2017 et les défis relatifs à la gestion des événements d’Al Hoceima qui ont directement impacté certains ministres.
A ce propos, l’opinion publique retiendra de l’année 2017 la décision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de mettre fin aux fonctions de plusieurs responsables ministériels en raison du retard injustifié dans l'exécution du projet "Al Hoceïma : Manarat Al Moutawassit".
Le Souverain a notifié à d’autres responsables du gouvernement précédent également concernés par ces dysfonctionnements, sa non-satisfaction, pour n’avoir pas été à la hauteur de la confiance placée en eux par le Souverain, affirmant qu’aucune fonction officielle ne leur sera confiée à l’avenir.
Idem pour l’administration territoriale où un wali, six gouverneurs et 86 fonctionnaires classés dans d’autres grades ont été suspendus de l’exercice de leurs fonctions.