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Le président français a indiqué que cette démarche faisait suite à la conversation qu'il a eue avec le Premier ministre David Cameron et la discussion qu'a eue Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères français, avec le Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon. Il a été alors convenu qu'un certain nombre d'actions allaient être entreprises pour exercer la pression sur la Syrie.
Tout en précisant qu'il allait s'entretenir vendredi avec Vladimir Poutine avec lequel il est en discussion, François Hollande a affirmé que les amis de la Syrie devaient se retrouver à Paris au début du mois de juillet. Une date propice était à l'étude pour en réunir un maximum de participants.
Pour sa part, l'Allemagne n'a pas été en reste selon l'agence de presse DPA, puisque le gouvernement d’Angela Merkel faisait de même en renvoyant l'ambassadeur de Syrie en Allemagne. Le Royaume-Uni et l'Australie leur emboitaient le pas, en prenant la même décision à l'encontre des diplomates syriens en poste dans leurs pays respectifs.
Ces expulsions en chaîne et auxquelles devraient s'adjoindre d'autres, celles très probables de l'Espagne et de l'Italie, font suite à la situation qui prévaut actuellement en Syrie et plus particulièrement le massacre de Houla qui a provoqué la mort de quelque 108 personnes, dont 49 enfants.