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Mise en exergue de la splendeur de l’écriture des Sultans du Maroc et ses fonctions civilisationnelles
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Participation remarquée du Maroc au 25ème festival de Dijon "les Nuits d'Orient et d’Ailleurs"
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Plus de 90% des jeunes considèrent la culture comme un levier essentiel de développement personnel et régional
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Taza à l’heure du Festival international “L’Hayti : Mémoire et Arts Vivants”
Créé en 2006 par l'Institut Culturel Roumain de Paris, en coopération avec l'Association "le Printemps des poètes" et la "Société d'études B. Fondane", en mémoire du poète et philosophe d'origine roumaine Benjamin Fondane, le prix distingue chaque année un écrivain francophone dont la langue maternelle n'est pas le français.
Benjamin Fondane (1898-1944), dont l'oeuvre essentielle, influencée par la pensée existentielle, fut écrite en français, est mort à Auschwitz. Le prix est accordé pour poésie, prose poétique ou essai.
Abdellatif Laâbi est né en 1942, à Fès. Depuis 1985, il vit en banlieue parisienne. Son vécu est la source première d'une œuvre plurielle (poésie, roman, théâtre, essai), ancrée dans un humanisme, pétrie d'humour et de tendresse. Il a obtenu le prix Goncourt de la poésie 2009.
Parmi ses œuvres, publiées en majeure partie aux Editions de la Différence figurent notamment "L'œil et la nuit (2003)", "Le chemin des ordalies (2003)", "Chroniques de la citadelle d'exil (2005)", "Les rides du lion (2007)", "Le livre imprévu (2010)" , "Le soleil se meurt (1992)", "L'étreinte du monde (1993)", "Le spleen de Casablanca (1996) et "Les fruits du corps (2003)".
Les cinq premiers lauréats du Prix Benjamin Fondane furent le Tchèque Petr Kral (2006), le Tunisien Abdeiwahab Meddeb (2007), le Tchadien Nimrod (2008), la Vietnamienne Linda Lê (2009) et le Haïtien Jean Métellus (2010).









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