Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya

On en prend une et on ne peut plus s'arrêter. Des chercheurs ont enquêté sur les causes de ce phénomène mystérieux qui se produit rarement avec les choux de Bruxelles, par exemple. Même les rats succombent...
Qui ne l'a pas constaté? On mange une chips. Puis une autre. Puis une autre... Presque sans s'en rendre compte. Même sans faim, parfois, le paquet y passe... D'où vient un tel phénomène? Peut-on parler de chips addiction? A la Nouvelle-Orléans, lors du très sérieux 245e Congrès annuel de l'American Chemical Society (ACS) qui s'est tenu du 7 au 11 avril 2013, Tobias Hoch, du Centre Emil Fisher de l'université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg en Allemagne, a rendu compte de ses travaux au sujet de cette « horrible réalité».
Comment une vulgaire chips peut-elle vaincre aussi facilement la volonté de bons nombre d'êtres ? Le chercheur parle d'hyperphagie hédoniste...Force est de le constater, l'épidémie de « chips addiction » asservit aujourd'hui des centaines de millions de personnes dans le monde entier. D'où l'importance des révélations de Thomas Hoch qui arrivent certes bien tardivement.
Les études récentes montrent que, pour les deux tiers des Américains qui sont obèses ou en surpoids, se gaver de nourriture grignotée pour le plaisir est un vrai problème de santé publique.
Thomas Hoch ne s'est pas tourné vers des mangeurs de chips pour réaliser son étude mais vers son meilleur ami de laboratoire : le rat. Lui aussi adore les chips. Le chercheur est parti de l'hypothèse que, parmi les attraits de la chips, le taux élevé de graisse et de glucides jouait un rôle important. Mais ce facteur est-il déterminant ? Pour le savoir, il a proposé à des rats trois types de nourriture : leurs boulettes habituelles, un mélange à base de gras et de glucides, et des chips de pommes de terre.
Qui ne l'a pas constaté? On mange une chips. Puis une autre. Puis une autre... Presque sans s'en rendre compte. Même sans faim, parfois, le paquet y passe... D'où vient un tel phénomène? Peut-on parler de chips addiction? A la Nouvelle-Orléans, lors du très sérieux 245e Congrès annuel de l'American Chemical Society (ACS) qui s'est tenu du 7 au 11 avril 2013, Tobias Hoch, du Centre Emil Fisher de l'université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg en Allemagne, a rendu compte de ses travaux au sujet de cette « horrible réalité».
Comment une vulgaire chips peut-elle vaincre aussi facilement la volonté de bons nombre d'êtres ? Le chercheur parle d'hyperphagie hédoniste...Force est de le constater, l'épidémie de « chips addiction » asservit aujourd'hui des centaines de millions de personnes dans le monde entier. D'où l'importance des révélations de Thomas Hoch qui arrivent certes bien tardivement.
Les études récentes montrent que, pour les deux tiers des Américains qui sont obèses ou en surpoids, se gaver de nourriture grignotée pour le plaisir est un vrai problème de santé publique.
Thomas Hoch ne s'est pas tourné vers des mangeurs de chips pour réaliser son étude mais vers son meilleur ami de laboratoire : le rat. Lui aussi adore les chips. Le chercheur est parti de l'hypothèse que, parmi les attraits de la chips, le taux élevé de graisse et de glucides jouait un rôle important. Mais ce facteur est-il déterminant ? Pour le savoir, il a proposé à des rats trois types de nourriture : leurs boulettes habituelles, un mélange à base de gras et de glucides, et des chips de pommes de terre.