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Des chercheurs viennent de découvrir une molécule "prometteuse" dans la perspective de prévenir les "neuropathies périphériques" induites par la chimiothérapie, a annoncé le Centre français de la recherche scientifique (CNRS) qui a conduit cette étude.
"Dans l’espoir d’offrir une option thérapeutique aux patients et patientes concernés", l’équipe de recherche "a identifié une molécule capable de prévenir l’apparition de tels effets secondaires", indique le CNRS en présentation de cette découverte, publiée mercredi dans la revue spécialisée "Science Advances".
A ce jour "incurables", les neuropathies périphériques, précise-t-on, sont "des complications neurologiques fréquentes de la chimiothérapie, qui provoquent douleurs, picotements et brûlures persistantes au niveau des membres, parfois même après la fin du traitement".
La molécule identifiée "stimule la production d’un composé essentiel à la production d’énergie cellulaire, dont dépend la survie de toutes nos cellules, et favorise ainsi la résistance des cellules nerveuses aux agressions causées par les traitements de chimiothérapie - comme le paclitaxel", explique le centre de recherche français.
Et d’ajouter que cette molécule, testée sur des cultures cellulaires humaines et des rongeurs, "a permis de limiter la dégradation des cellules nerveuses habituellement touchées dans les extrémités et ainsi de réduire les symptômes douloureux, sans pour autant altérer l’action antitumorale".
"A l’heure où les neuropathies liées à la chimiothérapie touchent 80 % des patients, et persistent chez près d’un quart d’entre eux, voire obligent à diminuer le traitement anticancéreux, cette découverte suscite un réel espoir", se félicite le CNRS.
La molécule, conclut-il, fera d’ici quelques années l’objet d’un essai clinique, "première étape vers une possible application thérapeutique, une fois validées les étapes précliniques réglementaires".
"Dans l’espoir d’offrir une option thérapeutique aux patients et patientes concernés", l’équipe de recherche "a identifié une molécule capable de prévenir l’apparition de tels effets secondaires", indique le CNRS en présentation de cette découverte, publiée mercredi dans la revue spécialisée "Science Advances".
A ce jour "incurables", les neuropathies périphériques, précise-t-on, sont "des complications neurologiques fréquentes de la chimiothérapie, qui provoquent douleurs, picotements et brûlures persistantes au niveau des membres, parfois même après la fin du traitement".
La molécule identifiée "stimule la production d’un composé essentiel à la production d’énergie cellulaire, dont dépend la survie de toutes nos cellules, et favorise ainsi la résistance des cellules nerveuses aux agressions causées par les traitements de chimiothérapie - comme le paclitaxel", explique le centre de recherche français.
Et d’ajouter que cette molécule, testée sur des cultures cellulaires humaines et des rongeurs, "a permis de limiter la dégradation des cellules nerveuses habituellement touchées dans les extrémités et ainsi de réduire les symptômes douloureux, sans pour autant altérer l’action antitumorale".
"A l’heure où les neuropathies liées à la chimiothérapie touchent 80 % des patients, et persistent chez près d’un quart d’entre eux, voire obligent à diminuer le traitement anticancéreux, cette découverte suscite un réel espoir", se félicite le CNRS.
La molécule, conclut-il, fera d’ici quelques années l’objet d’un essai clinique, "première étape vers une possible application thérapeutique, une fois validées les étapes précliniques réglementaires".








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