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Cela y ressemble. Après l’apogée, c’est sans doute la descente d’Angela Merkel et donc la fin de la politique de rigueur dont la chancelière allemande a fait son credo.
La rigueur préconisée jusqu’ici par l’Allemagne en tant que politique d’Etat ainsi que vis-à-vis de ses partenaires européens et particulièrement les pays en difficulté, notamment la Grèce, est en train de prendre de l’eau. Le nouveau président français, François Hollande, a dû quelque peu se trouver dans une meilleure position en rencontrant la chancelière allemande, en vue de plaider auprès d’elle son pacte de croissance. D’ailleurs, les dirigeants allemands semblent adhérer sinon montrer de meilleures dispositions à l’égard du projet de François Hollande. Un bel encouragement pour le leader socialiste.
Il en est de même pour les pays comme la Grèce, l’Italie ou l’Espagne, entre autres, et qui sont aujourd’hui plus sensibles à la réaction, voire aux protestations de leurs populations qui rejettent les mesures d’austérité qui leur sont appliquées à l’instigation de Berlin.