L’euro, la monnaie unique européenne, n’arrive toujours pas à se redresser par rapport au billet vert, le dollar américain qu’il coiffait pendant longtemps. La cause, la situation périlleuse de la Grèce.
Si la Grèce décide de retourner à sa monnaie nationale, la drachme, cela aura, à n’en pas douter, une répercussion désastreuse sur l’euro qui se verrait dégringoler. D’autant que d’autres pays européens comme l’Espagne, le Portugal, voire l’Italie pourraient éventuellement emboîter le pas à la Grèce si ce pays décidait finalement de quitter la monnaie unique.
Malgré les affirmations des dirigeants européens de tout faire pour sauver l’économie grecque, et partant l’euro, rien n’est moins sûr!
Des scénarios seraient déjà envisagés dans certains milieux pour parer à toutes les éventualités et éviter la catastrophe.
Le président français, François Hollande, à qui on avait posé la question sur la possibilité de voir la Grèce sortir de la zone euro, a voulu être circonspect, déclarant qu’il ne le souhaitait pas, mais la question serait envisagée.
On sait que la directrice générale du Fonds monétaire international avait déclaré dernièrement qu’il faut se préparer au retour de la Grèce à sa monnaie nationale.
Il reste que les pays européens restent suspendus aux élections législatives du 7 juin prochain en Grèce pour voir quel gouvernement sera formé et quelle décision il prendra pour l’avenir du pays et s’il gardera ou non l’euro comme monnaie.
Si la Grèce décide de retourner à sa monnaie nationale, la drachme, cela aura, à n’en pas douter, une répercussion désastreuse sur l’euro qui se verrait dégringoler. D’autant que d’autres pays européens comme l’Espagne, le Portugal, voire l’Italie pourraient éventuellement emboîter le pas à la Grèce si ce pays décidait finalement de quitter la monnaie unique.
Malgré les affirmations des dirigeants européens de tout faire pour sauver l’économie grecque, et partant l’euro, rien n’est moins sûr!
Des scénarios seraient déjà envisagés dans certains milieux pour parer à toutes les éventualités et éviter la catastrophe.
Le président français, François Hollande, à qui on avait posé la question sur la possibilité de voir la Grèce sortir de la zone euro, a voulu être circonspect, déclarant qu’il ne le souhaitait pas, mais la question serait envisagée.
On sait que la directrice générale du Fonds monétaire international avait déclaré dernièrement qu’il faut se préparer au retour de la Grèce à sa monnaie nationale.
Il reste que les pays européens restent suspendus aux élections législatives du 7 juin prochain en Grèce pour voir quel gouvernement sera formé et quelle décision il prendra pour l’avenir du pays et s’il gardera ou non l’euro comme monnaie.
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