La septième édition des Morocco Capital Markets Days (MCMD) a permis, jeudi soir à Londres, de mettre en avant le fort potentiel et les atouts du marché boursier marocain, ainsi que son attractivité pour les investissements étrangers.
Le gotha de la finance britannique s'est ainsi retrouvé au cœur de la City de Londres, à l'occasion de la conférence plénière du MCMD, qui s'est tenue sous le thème "L'investissement privé : Un modèle de croissance pour les marchés de capitaux marocains".
Dans son allocution à cette occasion, le secrétaire d'Etat britannique au Trésor, Bim Afolami, a rappelé la profondeur des relations séculaires qui unissent le Maroc et le Royaume-Uni, évoquant "la grande amitié et la coopération commerciale qui existait déjà au 16e siècle entre les deux pays".
De nos jours, a-t-il poursuivi, "notre commerce est plus fort que jamais, avec des échanges commerciaux de plus de 3,4 milliards de livres sterling, ce qui constitue un record".
Le marché marocain offre "des opportunités fantastiques pour le Royaume-Uni" et "nous sommes très désireux de développer le partenariat avec le Maroc," a assuré M. Afolami.
Pour sa part, la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, a relevé que l'édition 2024 du MCMD, qui a connu la participation de plus de 25 émetteurs marocains en plus d'une communauté d'investisseurs internationaux, a offert l'occasion de rappeler les réformes majeures entreprises par le Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Cet événement a permis de mettre l'accent sur la volonté du Royaume d'encourager les investissements privés, tout en mettant en avant son important portefeuille de projets, notamment en prévision de la Coupe du monde 2030, a-t-elle ajouté dans une déclaration à la MAP.
Le MCMD a également permis d'exposer les potentialités du secteur financier marocain qui dispose de l'un des marchés de capitaux les plus développés d'Afrique, avec des témoignages d'investisseurs internationaux qui ont pu rendre compte de la dynamique de croissance du Royaume, ainsi que de la maturité de son secteur financier, a précisé Mme Fettah Alaoui.
La conférence, qui a connu la présence du lord-maire de Londres, Michael Mainelli, et de l'ambassadeur du Maroc au Royaume-Uni, Hakim Hajoui, a, par ailleurs, été marquée par les interventions de la présidente de l’Autorité marocaine du marché des capitaux, Mme Nezha Hayat, ainsi que du président du Conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, Kamal Mokad.
Un panel d'experts, modéré par le directeur général de la Bourse de Casablanca, Tarik Senhaji, a quant à lui permis de présenter les caractéristiques du marché marocain des capitaux, des expériences d'investisseurs étrangers et le rôle déterminant du Fonds Mohammed VI pour l'investissement, qui est doté d’un capital initial de 1,5 milliard de dollars et qui vise à lever au moins trois fois plus de capitaux privés.
Après les six éditions organisées depuis 2016 dans les principales places financières internationales (Londres, New York et Dubaï), le MCMD est désormais reconnu comme étant le rendez-vous incontournable de la Bourse de Casablanca, du marché des capitaux, des investisseurs internationaux et des entreprises marocaines cotées.
Le gotha de la finance britannique s'est ainsi retrouvé au cœur de la City de Londres, à l'occasion de la conférence plénière du MCMD, qui s'est tenue sous le thème "L'investissement privé : Un modèle de croissance pour les marchés de capitaux marocains".
Dans son allocution à cette occasion, le secrétaire d'Etat britannique au Trésor, Bim Afolami, a rappelé la profondeur des relations séculaires qui unissent le Maroc et le Royaume-Uni, évoquant "la grande amitié et la coopération commerciale qui existait déjà au 16e siècle entre les deux pays".
De nos jours, a-t-il poursuivi, "notre commerce est plus fort que jamais, avec des échanges commerciaux de plus de 3,4 milliards de livres sterling, ce qui constitue un record".
Le marché marocain offre "des opportunités fantastiques pour le Royaume-Uni" et "nous sommes très désireux de développer le partenariat avec le Maroc," a assuré M. Afolami.
Pour sa part, la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, a relevé que l'édition 2024 du MCMD, qui a connu la participation de plus de 25 émetteurs marocains en plus d'une communauté d'investisseurs internationaux, a offert l'occasion de rappeler les réformes majeures entreprises par le Maroc, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Cet événement a permis de mettre l'accent sur la volonté du Royaume d'encourager les investissements privés, tout en mettant en avant son important portefeuille de projets, notamment en prévision de la Coupe du monde 2030, a-t-elle ajouté dans une déclaration à la MAP.
Le MCMD a également permis d'exposer les potentialités du secteur financier marocain qui dispose de l'un des marchés de capitaux les plus développés d'Afrique, avec des témoignages d'investisseurs internationaux qui ont pu rendre compte de la dynamique de croissance du Royaume, ainsi que de la maturité de son secteur financier, a précisé Mme Fettah Alaoui.
La conférence, qui a connu la présence du lord-maire de Londres, Michael Mainelli, et de l'ambassadeur du Maroc au Royaume-Uni, Hakim Hajoui, a, par ailleurs, été marquée par les interventions de la présidente de l’Autorité marocaine du marché des capitaux, Mme Nezha Hayat, ainsi que du président du Conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, Kamal Mokad.
Un panel d'experts, modéré par le directeur général de la Bourse de Casablanca, Tarik Senhaji, a quant à lui permis de présenter les caractéristiques du marché marocain des capitaux, des expériences d'investisseurs étrangers et le rôle déterminant du Fonds Mohammed VI pour l'investissement, qui est doté d’un capital initial de 1,5 milliard de dollars et qui vise à lever au moins trois fois plus de capitaux privés.
Après les six éditions organisées depuis 2016 dans les principales places financières internationales (Londres, New York et Dubaï), le MCMD est désormais reconnu comme étant le rendez-vous incontournable de la Bourse de Casablanca, du marché des capitaux, des investisseurs internationaux et des entreprises marocaines cotées.