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Il est un temps où le Mouvement du 20 février avait été lancé dans une ambiance bon enfant avec des slogans et mots d’ordre suscitant soutien, compréhension et empathie ; mais depuis, les jeunes, qui l’ont initié, ont été phagocytés de gré ou à leur insu par des extrémistes islamistes et gauchistes tapis attendant le bon moment pour se manifester.
Le 20 février est devenu un faire-valoir pour les extrémistes qui cherchaient à régler un vieux « contentieux » avec les autorités non pas pacifiquement, mais dans le sang s’il le fallait !
De par les slogans qui sont aujourd’hui formulés, les lieux de contestation choisis (quartiers populaires) ou l’attitude de confrontation et de provocation recherchée avec les forces de l’ordre, tous les ingrédients sont réunis pour créer le désordre.
Dans ce cas, faut-il, au nom du respect du droit de manifester, laisser faire ces extrémistes au risque de voir le pays affronter l’inconnu ou faire preuve de responsabilité et donc faire avorter le dessein des ennemis de leur propre pays ?
Pour ce faire, il est vrai que les charges des forces de l’ordre n’ont pas été souvent tendres. Mais peut-on faire des omelettes sans casser des œufs ? Et puis, ces manifestants ne cherchaient-ils pas justement la confrontation et jouer les martyrs ?
Sans chercher à justifier la manière forte de l’autorité, on a vu comment les forces de l’ordre ont agi dans d’autres pays récemment encore, l’Espagne par exemple !
Malgré l’amalgame dans lequel se trouve actuellement, le Mouvement du 20 février, il y a des supporters qui le défendent contre vents et marées, affirmant qu’il est le seul à s’imposer sur la scène politique nationale. Ils vont même plus loin, soulignant qu’il constitue aujourd’hui la majorité dans le pays (51% de la population). C’est le cas d’un éminent journaliste qui, un temps, avait défrayé la chronique par sa lettre ouverte à Driss Basri au zénith de sa position de grand vizir. La question qui se pose est : sur quels critères notre confrère s’est-il basé pour avancer ces chiffres qui paraissent pour le moins trop exagérés pour ne pas dire ridicules ?
Et comme le dit un autre confrère puisque le Mouvement du 20 février est aujourd’hui supposé majoritaire dans le pays, pourquoi ne pas lui remettre les rênes du pouvoir et éviter aux Marocains de se lancer dans des échéances constitutionnelles à ne plus en finir ? Il semble que le ridicule ne tue plus !
Il y a des gens qui prennent des vessies pour des lanternes !
Le 20 février est devenu un faire-valoir pour les extrémistes qui cherchaient à régler un vieux « contentieux » avec les autorités non pas pacifiquement, mais dans le sang s’il le fallait !
De par les slogans qui sont aujourd’hui formulés, les lieux de contestation choisis (quartiers populaires) ou l’attitude de confrontation et de provocation recherchée avec les forces de l’ordre, tous les ingrédients sont réunis pour créer le désordre.
Dans ce cas, faut-il, au nom du respect du droit de manifester, laisser faire ces extrémistes au risque de voir le pays affronter l’inconnu ou faire preuve de responsabilité et donc faire avorter le dessein des ennemis de leur propre pays ?
Pour ce faire, il est vrai que les charges des forces de l’ordre n’ont pas été souvent tendres. Mais peut-on faire des omelettes sans casser des œufs ? Et puis, ces manifestants ne cherchaient-ils pas justement la confrontation et jouer les martyrs ?
Sans chercher à justifier la manière forte de l’autorité, on a vu comment les forces de l’ordre ont agi dans d’autres pays récemment encore, l’Espagne par exemple !
Malgré l’amalgame dans lequel se trouve actuellement, le Mouvement du 20 février, il y a des supporters qui le défendent contre vents et marées, affirmant qu’il est le seul à s’imposer sur la scène politique nationale. Ils vont même plus loin, soulignant qu’il constitue aujourd’hui la majorité dans le pays (51% de la population). C’est le cas d’un éminent journaliste qui, un temps, avait défrayé la chronique par sa lettre ouverte à Driss Basri au zénith de sa position de grand vizir. La question qui se pose est : sur quels critères notre confrère s’est-il basé pour avancer ces chiffres qui paraissent pour le moins trop exagérés pour ne pas dire ridicules ?
Et comme le dit un autre confrère puisque le Mouvement du 20 février est aujourd’hui supposé majoritaire dans le pays, pourquoi ne pas lui remettre les rênes du pouvoir et éviter aux Marocains de se lancer dans des échéances constitutionnelles à ne plus en finir ? Il semble que le ridicule ne tue plus !
Il y a des gens qui prennent des vessies pour des lanternes !