La compagnie de Mercedes Ruiz présente un spectacle de danse flamenco «Baile de palabra», ce soir, à partir de 20h30, à la Villa des arts de Casablanca. Sous la direction artistique et la chorégraphie de Mercedes Ruiz, une référence dans le domaine flamenco féminin, avec Santiago Lara (guitare) et David Carpio (chant).
Organisé par l’Institut Cervantès de Casablanca, en collaboration avec l’Ambassade d’Espagne au Maroc et la Fondation ONA, cette soirée s’inscrit dans le cadre de la 3ème édition du Printemps culturel andalou à Casablanca.
Considérée comme la nouvelle reine flamenca, Mercedes Ruiz est une excellente danseuse qui se passionne très tôt pour la danse professionnelle dans le Semilla Flamenca de Ana María Lopez. Avant de fréquenter des artistes tels que Manuel Morao, Miguel Poveda et Antonio El Pipa. Ainsi qu’Eva Yerbabuena et Andrés Marín, considérés comme les rénovateurs du genre.
Artiste d’exception, elle se lance avec succès en solo et offre au public des créations d’une grande subtilité, «Dibujo en el Aire», «Gestos de Mujer» et «Juncá».
C’est une artiste au mieux de sa forme que le public applaudira ce soir. Comme partout ailleurs, Mercedes Ruiz devait facilement dompter la scène casablancaise et s’approprier «l'espace scénique avec une sensuelle autorité».
Les Casablancais amateurs de flamenca apprécieront ce soir «des mouvements d'une élégance et d'une puissance impressionnantes». Dans un spectacle qui promet de les «faire vibrer au rythme d'un flamenco qui allie modernité et tradition, dans un style maîtrisé avec virtuosité et légèreté qui caractérise la perfection de Mercedes Ruiz».
Organisé par l’Institut Cervantès de Casablanca, en collaboration avec l’Ambassade d’Espagne au Maroc et la Fondation ONA, cette soirée s’inscrit dans le cadre de la 3ème édition du Printemps culturel andalou à Casablanca.
Considérée comme la nouvelle reine flamenca, Mercedes Ruiz est une excellente danseuse qui se passionne très tôt pour la danse professionnelle dans le Semilla Flamenca de Ana María Lopez. Avant de fréquenter des artistes tels que Manuel Morao, Miguel Poveda et Antonio El Pipa. Ainsi qu’Eva Yerbabuena et Andrés Marín, considérés comme les rénovateurs du genre.
Artiste d’exception, elle se lance avec succès en solo et offre au public des créations d’une grande subtilité, «Dibujo en el Aire», «Gestos de Mujer» et «Juncá».
C’est une artiste au mieux de sa forme que le public applaudira ce soir. Comme partout ailleurs, Mercedes Ruiz devait facilement dompter la scène casablancaise et s’approprier «l'espace scénique avec une sensuelle autorité».
Les Casablancais amateurs de flamenca apprécieront ce soir «des mouvements d'une élégance et d'une puissance impressionnantes». Dans un spectacle qui promet de les «faire vibrer au rythme d'un flamenco qui allie modernité et tradition, dans un style maîtrisé avec virtuosité et légèreté qui caractérise la perfection de Mercedes Ruiz».
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