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			 Le nouveau chef du Pentagone Chuck Hagel a souligné vendredi que cette situation «mena(çait) notre capacité à remplir efficacement l’ensemble de nos missions» et a dit s’attendre à des mesures de chômage partiel pour des «milliers» d’employés civils.
M. Obama a estimé que ces coupes «superflues» allaient «affaiblir notre économie, coûter des emplois, et montrent clairement que les deux parties doivent être en mesure de trouver un compromis».
Le Fonds monétaire international a estimé à 0,5 point de pourcentage l’effet négatif à terme de cette rigueur sur une croissance déjà convalescente. De son côté, l’agence de notation Standard and Poor’s a assuré vendredi que ces coupes n’auraient qu’un effet «limité» sur l’économie, «à condition, bien sûr, qu’elles ne s’étendent pas dans le temps».M. Boehner a persisté vendredi à opposer une fin de non-recevoir à la demande démocrate d’une hausse d’impôts sur les plus hauts revenus. «La discussion sur les recettes, pour moi, est terminée», a-t-il déclaré à sa sortie de la Maison Blanche: «Nous devons nous concentrer sur le problème des dépenses».
Depuis 2011, quand les conservateurs ont pris le contrôle d’une partie du pouvoir législatif, M. Obama et ses adversaires se sont affrontés sur la façon de rééquilibrer les comptes publics sur fond d’une hausse vertigineuse de l’endettement de la première économie mondiale, actuellement à plus de 16.000 milliards de dollars.

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