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Leurs victoires, peu contestées sur le terrain, ont parfois été accompagnées de péripéties à l'image de Tsonga, "attaqué par des bestioles", des gros papillons de nuit face au Japonais Go Sodea (6-3, 7-6, 6-3).
"Les insectes ça m'irrite. Il y en a un qui m'a attaqué au moment de retourner au tie-break. C'étaient des gros papillons de nuit. Ce n'est pas méchant mais c'est perturbant: ils se posent sur ton bras, ta jambe. Il y en a même un qui s'est faufilé sous ma casquette", a raconté le N.8 mondial.
Parfois c'est pire. Une année, il a même frôlé la catastrophe lorsqu'une guêpe est entrée dans son short. "Elle ne m'a pas piqué mais je ne suis pas passé loin de la correctionnelle", a lancé le Français qui retrouvera le Slovène Blaz Kavcic ou l'Australien James Duckworth au prochain tour.
Serena Williams, qui s'était fait une grosse frayeur en se tordant la cheville droite dans son match précédent, s'est rassurée face à l'Espagnole Garbine Muguruza (6-2, 6-0) mais s'est ouvert la lèvre avec sa raquette en tentant de ramener une balle impossible dans le premier set.
"L'autre jour je me suis tordue la cheville, aujourd'hui je me frappe le visage. Que va-t-il m'arriver samedi? J'espère seulement frapper des coups gagnants", a plaisanté la N.3 mondiale au sujet de cette "blessure de guerre", ajoutant: "Si ça gonfle, j'aurais les lèvres super sexy".
Serena, qui n'a perdu que deux jeux sur ses deux premiers matches, rencontrera la Japonaise Ayumi Morita au prochain tour.
Pas de souci non plus pour Victoria Azarenka, N.1 mondiale et tenante du titre, qui a écrasé la Grecque Eleni Daniilidou 6-1, 6-0, ni pour Andy Murray, impitoyable avec le Portugais Joao Sousa (6-2, 6-2, 6-4).