Réflexion. Vahid Halilhodzic hésite à rester à la tête des Fennecs, sortis dès le premier tour. "Franchement, être sélectionneur de l'équipe d'Algérie, ce n'est pas une chose facile", a dit le sélectionneur bosno-français à la presse algérienne, car il est difficile selon lui d'expliquer aux Algériens "qu'il existe des équipes qui sont bien meilleures que nous". "En fait, c'est même impossible de leur faire comprendre cela, poursuit-il. Et de temps en temps, tout ça me fatigue. C'est pour cette raison que je vais prendre quelques jours, voire quelques semaines de repos pour réfléchir et je vous avoue qu'il peut se passer beaucoup de choses".