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Le mouvement de grève a néanmoins entraîné l’annulation d’une vingtaine de réunions d’experts, a précisé Günther Lorenz, secrétaire général de l’Union syndicale du service public européen.
Une nouvelle réunion des représentants des 27 pays de l’UE est programmée vendredi pour tenter de trouver un compromis. Les pays de l’UE ont notamment évoqué la possibilité de proposer une hausse salariale réduite à 2%, ce que les syndicats jugent «illégal». Autre hypothèse évoquée: relever le taux d’un prélèvement de crise déjà existant.
Une douzaine de pays -dont le Royaume-Uni, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Autriche, la Pologne- sont très réfractaires à l’ajustement proposé. Les Etats veulent que la Commission utilise une clause d’exception en cas de «détérioration grave et soudaine de la situation économique et sociale» dans l’UE, pour ne pas appliquer la hausse légale prévue.
La revalorisation mécanique, proposée par la Commission européenne, est calculée sur l’évolution des salaires de la fonction publique de huit Etats, durant l’année précédente, ainsi que sur le coût de la vie à Bruxelles. L’affaire pourrait toutefois terminer devant la Cour européenne de justice. En 1972, une situation similaire avait débouché sur une victoire de la Commission européenne devant la justice.

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