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Pour l'instant, seuls trois pays ont procédé à des retraits de produits, la France, le Royaume-Uni et la Suède, l'enquête des autorités françaises n'ayant pas encore permis de savoir où tous les produits frauduleux ont été vendus.
Presque toutes les principales enseignes de distribution françaises ont procédé à des retraits, qu'ils soient de marque Findus, première société concernée, ou de marque de distributeurs.
Il s'agit de lasagnes, cannellonis ou spaghettis bolognaise, moussaka, hachis parmentier, vendus dans les magasins Auchan, Casino, Carrefour, Système U, Cora, Monoprix, Picard.
Comigel, PME basée à Metz, a fabriqué les produits en cause pour plusieurs enseignes, soit sous marque Findus, soit sous marque de distributeurs.
Comigel tout comme Findus et la société française Spanghero qui a fourni la viande en cause font remonter la responsabilité vers l'amont de la chaîne de production, qui démarre en Roumanie et passe par plusieurs entreprises.
L'émotion en Grande-Bretagne n'a pas faibli, mais le gouvernement a exclu dimanche d'imposer pour l'instant un moratoire sur la viande importée de l'UE, comme le réclamait une députée du Parti conservateur, au pouvoir. Lundi également, le gouvernement français a convoqué l'ensemble de la filière professionnelle pour tenter d'y voir plus clair.
Les premiers éléments de l'enquête dévoilés par le gouvernement français ont permis de déterminer le circuit de la viande en cause.
En Roumanie, les professionnels du secteur renvoient la balle vers l'importateur, Spanghero.