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Sur fond de développements marquants en faveur du Plan marocain d’autonomie
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Les allégations sur le décès d'un citoyen lors des événements survenus à Sidi Youssef Ben Ali dénuées de tout fondement
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Suite aux actes survenus à Sidi Taibi : 17 individus déférés devant le parquet près la Cour d'appel de Kénitra
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Pour le CNDH, les manifestations des deux derniers jours se sont déroulées sans aucun comportement de nature à transgresser le droit au rassemblement pacifique (CNDH)
Si Rabat a pris l’initiative de réunir les différentes parties de la crise malienne, Alger a tenté aussi, et à des mois d’intervalle, de faire la même chose. Ce n’est pas tout. Si le Maroc a réussi après des mois de négociations continues à mettre tous les belligérants autour de la même table et à aboutir à l’accord de Skhirat, Alger s’évertue, autant que faire se peut, à dupliquer la même initiative. Sauf que Abdelkader Messahel, ministre algérien des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, ne se rappelle point une maxime marxiste, disant à juste titre que «l’histoire se répète uniquement de manière caricaturale, sinon de façon dramatique».
Du nouveau ? Rien ou presque ! Pour ceux et celles n’ayant pas pu suivre la crise libyenne depuis le début, Messahel rabâche le même discours, expliquant l’eau par l’eau, comme disent bien les oulémas ! Il souligne, en effet, «l'importance de trouver une solution politique loin de toute intervention étrangère».