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Une cérémonie de remise du label "Global Geopark", décerné en septembre dernier par l'Unesco au Géoparc du M'Goun situé dans la région de Tadla-Azilal, a été organisée récemment à Azilal, en présence de plusieurs personnalités.
S'exprimant à cette occasion, le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Lahcen Daoudi, a indiqué que son département est prêt à contribuer à la création d'un centre de recherche scientifique dans la province d'Azilal qui permettra de mieux promouvoir cette région et ses potentialités.
Il a précisé que l'appui qui sera présenté par le ministère au projet de création de ce futur centre de recherche entre dans le cadre d'un accord entre l'Unesco, le Conseil de la région de Tadla-Azilal et l'Association du Géoparc du M'Goun (AGM) portant sur la mise en place d'un cadre dédié à ce projet.
M. Daoudi a mis l'accent, par ailleurs, sur la nécessité d'œuvrer pour le désenclavement de cette région pour ériger vraiment le Géoparc du M'Goun en un parc national et international. Pour sa part, le ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Abdelkader Aâmara, s'est félicité de cette distinction accordée par l'Unesco au Géoparc du M'Goun et qui donnera à la région de Tadla-Azilal un nouveau souffle devant lui permettre de mettre en valeur ses ressources culturelles tant en géologie et en géomorphologie qu'en sociologie.
Si la région est connue par ses dinosaures découverts depuis des décennies et leurs empreintes, elle recèle aussi d'autres potentialités naturelles, dont la fameuse vallée d'Ait Bouguemmaz, le pont naturel d'Imi N'ifri et les cascades d'Ozoud, a-t-il poursuivi, soulignant qu'il s'agit d'autant de "composantes de notre capital immatériel qui méritent bien plus d'attention de notre part, pouvoirs publics, autorités locales, organismes internationaux et société civile pour leur sauvegarde et leur promotion intergénérationnelle". Le représentant de l'Unesco à Nairobi (Kenya), Felix Sadrak, a relevé que les responsables du Géoparc du M'goun sont appelés désormais à accorder davantage d'attention à cet espace naturel, faisant savoir que les géoparcs labellisés par l'organisme onusien sont soumis à une évaluation tous les quatre ans. Le label "Global Geopark" décerné au Géoparc du M'goun montre la voie aux autres pays africains afin qu'ils œuvrent pour faire de ce type d'espaces naturels des outils de développement, a-t-il ajouté, affirmant que l'Unesco poursuivra son soutien à ce genre d'initiatives.
Pour sa part, la wali de la région de Tadla-Azilal, Mohamed Fanid, a relevé que cette distinction est le résultat d'un travail soutenu qui a démarré en 2005, année de la signature de l'accord-cadre portant sur la création de ce parc, et qui vise à permettre à cet espace de jouer pleinement son rôle dans la préservation du patrimoine de la région et sa promotion.
Le président du Conseil de la région de Tadla-Azilal, Saleh El Hamzaoui, a estimé que l'octroi par l'Unesco de son label "Global Geopark" au Géoparc du M'goun représente une grande responsabilité qu'il faut assumer, ajoutant qu'il s'agit du couronnement d'un effort collectif au niveau de la région.
A traves le label "Global Geopark", décerné en septembre dernier par l'Unesco au Géoparc du M'Goun, le Maroc est devenu le premier pays arabe et africain à intégrer le Réseau mondial des géoparcs qui compte 111 territoires répartis dans 32 pays.
Le bureau du Réseau mondial des géoparcs, émanation de l'Unesco, avait décerné, lors de la 6ème Conférence mondiale des géoparcs qui s'est tenue du 18 au 22 septembre 2014 à Stonehammer Geopark au Canada, le prestigieux label "Global Geopark" au Géoparc du M'Goun, parmi 11 nouveaux géoparcs situés dans sept pays européens et asiatiques (Chine, Japon, Espagne, Portugal, Danemark, Autriche et France).
S'exprimant à cette occasion, le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Lahcen Daoudi, a indiqué que son département est prêt à contribuer à la création d'un centre de recherche scientifique dans la province d'Azilal qui permettra de mieux promouvoir cette région et ses potentialités.
Il a précisé que l'appui qui sera présenté par le ministère au projet de création de ce futur centre de recherche entre dans le cadre d'un accord entre l'Unesco, le Conseil de la région de Tadla-Azilal et l'Association du Géoparc du M'Goun (AGM) portant sur la mise en place d'un cadre dédié à ce projet.
M. Daoudi a mis l'accent, par ailleurs, sur la nécessité d'œuvrer pour le désenclavement de cette région pour ériger vraiment le Géoparc du M'Goun en un parc national et international. Pour sa part, le ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Abdelkader Aâmara, s'est félicité de cette distinction accordée par l'Unesco au Géoparc du M'Goun et qui donnera à la région de Tadla-Azilal un nouveau souffle devant lui permettre de mettre en valeur ses ressources culturelles tant en géologie et en géomorphologie qu'en sociologie.
Si la région est connue par ses dinosaures découverts depuis des décennies et leurs empreintes, elle recèle aussi d'autres potentialités naturelles, dont la fameuse vallée d'Ait Bouguemmaz, le pont naturel d'Imi N'ifri et les cascades d'Ozoud, a-t-il poursuivi, soulignant qu'il s'agit d'autant de "composantes de notre capital immatériel qui méritent bien plus d'attention de notre part, pouvoirs publics, autorités locales, organismes internationaux et société civile pour leur sauvegarde et leur promotion intergénérationnelle". Le représentant de l'Unesco à Nairobi (Kenya), Felix Sadrak, a relevé que les responsables du Géoparc du M'goun sont appelés désormais à accorder davantage d'attention à cet espace naturel, faisant savoir que les géoparcs labellisés par l'organisme onusien sont soumis à une évaluation tous les quatre ans. Le label "Global Geopark" décerné au Géoparc du M'goun montre la voie aux autres pays africains afin qu'ils œuvrent pour faire de ce type d'espaces naturels des outils de développement, a-t-il ajouté, affirmant que l'Unesco poursuivra son soutien à ce genre d'initiatives.
Pour sa part, la wali de la région de Tadla-Azilal, Mohamed Fanid, a relevé que cette distinction est le résultat d'un travail soutenu qui a démarré en 2005, année de la signature de l'accord-cadre portant sur la création de ce parc, et qui vise à permettre à cet espace de jouer pleinement son rôle dans la préservation du patrimoine de la région et sa promotion.
Le président du Conseil de la région de Tadla-Azilal, Saleh El Hamzaoui, a estimé que l'octroi par l'Unesco de son label "Global Geopark" au Géoparc du M'goun représente une grande responsabilité qu'il faut assumer, ajoutant qu'il s'agit du couronnement d'un effort collectif au niveau de la région.
A traves le label "Global Geopark", décerné en septembre dernier par l'Unesco au Géoparc du M'Goun, le Maroc est devenu le premier pays arabe et africain à intégrer le Réseau mondial des géoparcs qui compte 111 territoires répartis dans 32 pays.
Le bureau du Réseau mondial des géoparcs, émanation de l'Unesco, avait décerné, lors de la 6ème Conférence mondiale des géoparcs qui s'est tenue du 18 au 22 septembre 2014 à Stonehammer Geopark au Canada, le prestigieux label "Global Geopark" au Géoparc du M'Goun, parmi 11 nouveaux géoparcs situés dans sept pays européens et asiatiques (Chine, Japon, Espagne, Portugal, Danemark, Autriche et France).
